Note du traducteur : WTC désigne ici le complexe du World Trade Center.
Maintenant qu'une revue scientifique révisée par les pairs a finalement publié la preuve de l'arme du crime (c'est-à-dire la nano-thermite inerte), démontrant hors de tout doute que les tours du World Trade Center (WTC) 1, 2 et 7 ont été détruites par démolition contrôlée, voici d'autres faits à considérer.
Ce ne sont pas des musulmans dans une grotte afghane qui ont pu avoir accès à de la nano-thermite hautement énergique. Ce sont plutôt l'armée américaine et les scientifiques du gouvernement, tels que ceux liés au NIST.
Ce ne sont pas des musulmans qui exploitaient une entreprise de construction ayant obtenu un contrat de 124 millions de dollars pour la construction de la Naval Sea Systems Command (NAVSEA), à Washington DC, qui supervise l’ Indian Head Naval Surface Warfare Center (NSWC-IH), lequel a été qualifié dans les années 90 de « Centre national d’énergétique », le terme militaire pour « travail avec des explosifs », et qui était en 1999-2000 la « seule source fiable de nano-poudre d'aluminium aux États-Unis ». C’est plutôt Tom Leppert, qui le 11 septembre était PDG de Turner Construction, et qui a même écrit des parties de discours présidentiel.
Ce ne sont pas des musulmans qui exploitaient une entreprise de construction qui a supervisé en 2000 la démolition du dôme de Seattle (le Seatle King Dome); qui ont participé après le 11 septembre à la collecte de l'épave de la structure d'acier des tours du WTC et effectué d'importantes rénovations dans l'ensemble du complexe du WTC jusqu'à la matinée du 11 septembre, incluant la protection ignifuge des mêmes planchers qui ont été frappés par les avions et, par la suite "ont failli ", alors que l'acier avait été certifié ASTM E119 par Universal Laboratories, et alors qu’au cours des essais parrainés par le NIST sur des planchers similaires, soumis à une plus grande chaleur et avec moins de protection ignifuge que celle du WTC, les échantillons « ont été en mesure de soutenir le stress maximal admissible » sans s'effondrer et pour toute la durée des tests (2 à 3.5 heures). Le 11 septembre, c’est en fait Tom Leppert qui était PDG de Turner Construction et qui reçut ensuite le prix Torch of conscience (flambeau de la conscience) du Congrès juif des États-Unis.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait des tests de caméra sur les tours du WTC avant le premier impact des avions, qui ont dansé et célébré en se tapant dans les mains avant le second impact, alors que la plupart des spectateurs croyaient encore que c'était un terrible accident; et qui ont été pris avec des passeports étrangers, 4700 $ cachés dans une chaussette, des cartes géographiques mettant en évidence certains endroits de la ville et une fourgonnette testée positive pour les traces d'explosifs. Ce sont plutôt les Israéliens Sivan Kurzberg, Paul Kurzberg, Yaron Shmuel, Oded Ellner et Omer Marmari, dont plusieurs ont été identifiés comme agents du Mossad, qui ont avoué avoir été mandatés de « documenter l'événement ».
Ce ne sont pas des musulmans qui ont été capturés le 11 septembre, travaillant en équipe avec des camionnettes pleines d'explosifs, qui ont tenté de faire sauter le pont George Washington avec l’une de ces camionnettes, qui ont fait sauter une camionnette (peinte avec une image montrant des avions plongeant sur New York) entre la 6e et la 7e av. sur la Rue King. Ce sont plutôt des Israéliens, ce qui explique pourquoi les autorités ont fait de leur mieux pour ignorer et enterrer ces rapports, incluant celui qui rapporte une camionnette suspecte dans le sous-sol du WTC et qui l’on a fait exploser pour affaiblir la structure.
Ce ne sont pas des musulmans qui se sont faits prendre, peu après minuit le 7 Mai 2002, à proximité de la base aérienne de Whidbey Island, à Oak Harbor, Washington, (où la marine effectue des essais de munitions explosives pour des unités mobiles anti-bombe au détriment de la vie marine locale), avec un camion de location qui a testé positif à la présence de plastique explosif (TNT et RDX). Ce sont plutôt des Israéliens, déguisés en "livreurs de meubles", mais suspects selon les autorités en raison de l'heure matinale. Les affirmations subséquentes des autorités, selon lesquelles la réaction des chiens et les premiers tests d'explosifs étaient erronés, est tellement pleine de trous que cela ne fait que démontrer la puissance du lobby israélien.
Ce ne sont pas des musulmans qui étaient à New York le 11 septembre et à Londres le matin des attaques du 7 juillet. C'était Rudy Giuliani.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fournit un avertissement avant les attaques du 7 juillet à Londres. Ce sont plutôt Benjamin Netanyahu et le Mossad.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont transmis un avertissement deux heures avant les attentats contre le WTC, par l'intermédiaire d'une messagerie instantanée basée à Herzliya. Ce sont plutôt des Israéliens.
Ce n'est pas un musulman qui a fui les États-Unis le 14 Septembre 2001, c’est plutôt Dominick Suter de Urban Moving Systems (une entreprise de déménageurs) qui a fui en Israël.
Ce ne sont pas plus d’une centaine de musulmans qui, de janvier 2000 à septembre 2001, se sont fait passer pour « des étudiants en art » et tenté de pénétrer les bureaux de la US Drug Enforcement Agency (DEA) et autres bureaux fédéraux, incluant 36 lieux sensibles du Ministère de la défense (DoD); qui ont été capturés avec des plans de bâtiments et des photographies d’agents de sécurité fédéraux; et qui ont plusieurs fois contourné la sécurité en entrant par les portes arrières ou les garages de stationnement et qui sont même entrés dans les maisons de hauts fonctionnaires fédéraux, en évitant celles de leurs voisins. Ce sont plutôt des Israéliens, aucun d’eux n'étant étudiant en arts, mais ayant souvent travaillé pour les services de renseignement militaire israélien. Pas surprenant que la presse ait laissé sortir l’information de manière limitées en essayant de faire croire que les Israéliens « surveillaient les pirates de l'air arabes" mais ou bien ils ont failli à transmettre l'information, ou bien "l'info n'a pas été prise au sérieux"; c’est le vieux cliché de « l'échec des services de renseignement ». Les opérations israéliennes impliquant de faux " étudiants en arts" sont bien documentées, avec des noms et des descriptions. Un nombre particulièrement élevé de ces Israéliens logeaient à Irving, Dallas au Texas (p.23, lien précédent), à environ dix miles à l'ouest de la maison de Tom Leppert, située à juste un mile au nord de la maison dans laquelle George W. Bush a emménagé après avoir quitté ses fonctions.
Ce ne sont pas les pays musulmans qui ont un énorme réseau d’espionnage aux États-Unis, capable de s'infiltrer dans les réseaux de télécommunication américains utilisant l'information recueillie à des fins de chantage, c'est plutôt Israël.
Le 10 septembre 2001, ce ne sont pas des musulmans qui ont reçu l’avertissement de ne pas prendre l'avion le lendemain, ce sont plutôt le maire de San Francisco Willie Brown et un groupe de hauts fonctionnaires du Pentagone.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont signé un bail de 99 ans sur les tours jumelles du WTC (les bâtiments 4 et 5 avec 400 000 pieds carrés d'espace de vente), qu’ils ont assuré pour des milliards de dollars contre des attaques terroristes éventuelles, cela six semaines avant les attaques terroristes réelles, et qui ont ensuite engagé (pour la déclaration de sinistre) un « ingénieur en structure » qui affirme à tort que l'acier perd la moitié de sa force à « 400 degrés ». Ce sont plutôt Larry Silverstein (accord négocié par Lewis Eisenberg de la Port Authority), l'ami de Benjamin Netanyahu (ainsi que d'Ariel Sharon et Ehud Barak) ainsi que son partenaire australien milliardaire et « survivant de l'Holocauste » Frank Lowy. Ce dernier s’est battu dans « le mouvement clandestin juif »; a été impliqué dans un scandale de corruption bancaire de haut niveau avec le premier ministre israélien Ehud Olmert; est connu pour avoir fait des pots de vin à Lord (Michael Abraham) Levy; et a été arrêté plusieurs fois en lien avec un scandale « du fric pour l'honneur » (Levy était "partenaire de tennis" et conseiller de Tony Blair).
Ce ne sont pas des musulmans qui ont la réputation de perpétrer des incendies criminels pour ensuite réclamer des dédommagements aux compagnies d'assurance, tel que le suggère l'expression nouvellement employée « foudre musulmane ». Ce sont plutôt des Juifs, comme en témoigne l'expression bien connue « foudre juive ».
Ce ne sont pas des musulmans qui avaient l’habitude de déjeuner au restaurant Windows of the World, situé aux 106e et 107e étages de la tour Nord du WTC, mais qui (par une étrange coïncidence) étaient absents le jour fatidique du 11 septembre, évitant ainsi le triste sort des occupants (aucun survivant dans les étages situés au-dessus de l'impact d'avion à 8h46 AM). C’est plutôt Larry Silverstein, épargné en raison d'un « rendez-vous chez le dermatologue », qui a aussi sauvé ses deux enfants qui travaillaient chez Silverstein Properties.
Ce n'est pas un musulman
- qui a
annoncé à la télévision peu après l'attaque que tous que " Cela... est
certainement la marque d’un individu comme Ben Laden » et que les tours du WTC
se sont effondrées en raison de "la vitesse de l'avion" et de "la chaleur
intense, qui a aussi sans doute affaibli la structure";
- qui, le même jour,
aurait
conseillé le Cipro à la Maison Blanche, un
antibiotique
efficace contre l'anthrax, tout juste
sept jours avant le
début de la campagne de terreur impliquant les lettres contaminées à
l'anthrax destinées aux
sénateurs démocrates et aux
bureaux des médias;
- qui
le 11 septembre était le directeur de la division de ‘gestion de crise et des
impacts’ chez Kroll Associates;
- qui était conseiller au
Council on Foreign Relations (CFR) concernant la « surveillance
épidémiologique » et conseiller à la
sécurité nationale au National Institute of Health (NIH);
- qui
offert un poste de
chef de la sécurité du WTC à son "ami" John O'Neill.
C'est plutôt
Jerome Hauer.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont mené une campagne de terreur en envoyant des lettres contenant des spores du bacille du charbon dont la charge électrostatique a été altérée pour en faciliter la dispersion, de l'anthrax de qualité militaire en provenance du laboratoire de l'US Army Medical Research Institute for Infectious Diseases (USAMRIID) à Fort Detrick. Ce n'est pas non plus le suspect retenu par le FBI qui l’a fait, le catholique Bruce Ivins, qui, contrairement aux vrais auteurs des attaques du 11 septembre, n'avait aucune raison de cibler ainsi les médias et les sénateurs de l'opposition, pour les forcer à accepter aveuglément et sous la peur la théorie de la conspiration des « pirates de l'air Arabes ». Ivins est mort d'une surdose, d’un présumé "suicide" en juillet 2008, après que le FBI eut renoncé à jeter le blâme sur Steven Hatfill parce qu'il n'y avait pas un seul petit élément de preuve contre lui. Logiquement, M. Philip Zack devrait être un suspect, puisqu’il a quitté Fort Detrick dans des circonstances nébuleuses en décembre 1991 après avoir dirigé une clique dénommée le "Camel Club", qui faisait du harcèlement racial contre le Dr égyptien Assaad Ayaad. Une enquête de 1992 a révélé que Zack a été filmé par une caméra de surveillance entrant dans un bâtiment du laboratoire de Fort Detrick à 20:40, le 23 janvier 1992, grâce au Dr. Marian Rippy, un pathologiste de labo et proche ami de Zack. L'enquête a également montré que quelqu'un était entré secrètement dans un laboratoire durant la nuit pour y conduire des recherches non autorisées, à l'évidence sur l'anthrax de qualité militaire. Presque dix ans plus tard, entre le 11 septembre et le début de la campagne de l'anthrax, le FBI reçut une lettre anonyme qui essayait de faire passer le Dr Assaad pour l'un des "bioterroristes". Les lettres à anthrax avaient apparemment été fabriquées pour qu’elle ait l’air d’avoir été écrites par un musulman. Le New York Times a parlé d'un certain « Monsieur Z », qui aurait raté les tests de polygraphe du FBI et aurait été surpris avec sa petite copine à Fort Detrick "entourés seulement par les germes tout gênés devant ce spectacle".
Ce n’est pas un musulman qui a affirmé avoir été tué sur le supposé « Vol 77 » d'American Airlines, avoir vécu à Silver Spring au Maryland (comme le fit un certain Rabbin Dr. Dov Zakheim), et avoir travaillé sur des projets top-secrets "très noirs" à l'Indian Head Naval Surface Warfare Center (NSWC-IH), comme "chef de file réputé en énergétique", dirigeant un «Centre de technologie de fabrication en énergie", réalisant de la "recherche de pointe en systèmes énergétiques" et "occupant un poste au Naval Ordnance Laboratory (aujourd'hui fermé), anciennement à White Oak au Maryland ", à quelques milles de Silver Spring. C’est plutôt William E. Caswell.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont déclaré avoir été tués sur le prétendu "vol 77" et qui ont travaillé pour le gouvernement ou la défense, particulièrement la marine. C’est John Yamnicky qui, étrangement, pour la première fois, n'a pas dit à sa fille qu'il partait en voyage, et qui, comme William Caswell, avait travaillé pour la marine sur des projets top-secret "très noirs". Il y en a d'autres, comme par exemple Charles Burlingame, ancien pilote de chasse de la marine qui avait l'habitude de travailler dans l’aile du Pentagone qui a été touchée, qui a formulé une réponse à l'éventualité d'un avion de ligne qui percuterait le Pentagone et dont la fille Wendy a ensuite trouvé la mort dans un « incendie suspect » dans un gratte-ciel de 50 étages au New Jersey en décembre 2006. Ou par exemple Wilson "Bud" Flagg, un ancien pilote d'American Airlines et amiral de la marine. Ou encore Stanley Hall, un expert de la technologie anti-radar et directeur de la gestion de programme à Raytheon, Bryan Jack, un cadre supérieur et haut analyste de budget qui a travaillé au Pentagone. Chandler Keller, un ingénieur en propulsion de Boeing. Dong Lee, un ingénieur de Boeing qui a travaillé pour leur système de défense intégrée, et qui a travaillé pour la NSA pendant 14 ans. Barbara Olson, commentatrice à CNN et femme du procureur général des États-Unis, qui a affirmé avoir reçu des appels du "vol 77". Ruben Ornedo, un ingénieur en propulsion et communication satellite de Boeing. Robert Penniger, un ingénieur électrique pour BAE Systems. Ainsi qu'une autre douzaine de prétendus « passagers du vol 77 » qui étaient liées à la défense et au gouvernement qui, nous dit-on, sont tous tombés par hasard sur ce vol exceptionnellement vide. Ces gens, bien-aimés, respectés, considérés honnêtes, de l’étoffe des héros, sont le type même de gens dont le travail pourrait avoir été horriblement exploité à leur insu, et que les auteurs du 11 septembre auraient cherché à éliminer pour les empêcher de parler après les attentats.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont profité de la spéculation sur le transport aérien et les titres d'assurance tout juste avant le 11 septembre. Ce sont plutôt des Israéliens.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont concocté un canular sur des juifs pieux évitant le porc, rejetant l'argent, aimant le célibat, la vérité, le courage, et les droits des animaux, qui étaient aussi des "pirates de l'air et pilotes », et dont près de la moitié se sont révélés plus tard être bien en vie. Ce sont plutôt des Juifs qui ont concocté un canular à propos de buveurs d'alcool, amateurs de jeux de hasard, fréquentant des clubs de strip-tease, coureurs de jupons, des « musulmans pieux» qui étaient des « pirates-kamikazes et des pilotes », dont près de la moitié se sont révélés plus tard être bien en vie.
Ce n'est pas un musulman qui était ancien chef d'équipe dans une unité d'élite des forces spéciales et dont le père était un haut conseiller, secrétaire et porteur du cercueil d'un homme qui, en 1937, était commandant de l'Irgun Tzvai Leumi, une organisation terroriste juive responsable d'atrocités telles que le bombardement de l'hôtel King David. C’est plutôt Benjamin Netanyahu.
Ce n'est pas un musulman qui a été le mentor de Benzion, le père de Benjamin Netanyahu, et qui a écrit un article dans le magazine sioniste révisionniste Doar Hayom sous le tire "Du carnet d'un fasciste", louant Mussolini et se référant à un ancien commandant de l'Irgun, Ze'ev (Vladimir) Jabotinsky comme « notre Duce » (notre leader). C’est plutôt Abba Ahimeir, le fondateur du maximalisme révisionniste, une idéologie fasciste juive.
Ce ne sont pas des terroristes musulmans qui ont comploté pour assassiner le Secrétaire britannique aux affaires étrangères Ernest Bevin. Ce sont plutôt des terroristes juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont orchestré et qui ont été pris en flagrant délit dans une opération terroriste de faux pavillon ratée en Égypte. C’est plutôt Israël.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont attaqué le navire USS Liberty, tuant ainsi 34 Américains, et qui ont fait pression pour que le président américain déclare finalement "Je me fous éperdument si tous les hommes se noient et si le navire coule. Je ne veux pas embarrasser nos alliés". C’est plutôt Israël.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont été évacués " le 9 novembre 2005 " (11 septembre selon les calendriers israélien et européen) juste avant les attaques terroristes d'Amman en Jordanie, apparemment en raison d'une menace à la sécurité, qui incluaient une explosion à l'hôtel Radisson causée par une bombe cachée dans un faux plafond (une étrange coïncidence car elle devait avoir été placée là d’avance). L'histoire officielle a ensuite raconté que c'était le travail de "kamikazes". Ce sont plutôt des Israéliens qui ont été évacués avant ces attaques, avec aucune victime juive, mais avec une majorité de morts musulmans sunnites de Jordanie. Deux victimes Israéliennes étaient Arabes, et cinq Palestiniens sont morts, y compris le major-général Bashir Nafeh, le chef des renseignements militaires en Cisjordanie.
Ce n’étaient pas des musulmans qui ont été capturés et arrêtés à l'intérieur de la chambre du Congrès mexicain, le 10 octobre 2001, en possession de fusils, grenades, dynamite, détonateurs et câbles, posant comme des « photographes de presse ». C’étaient plutôt l'agent du Mossad Salvador Guersson Smecke et l'immigrant illégal israélien Saur Ben Zvi, au même moment où les sionistes bénéficiaient au maximum d'une opération de faux-pavillon qui allait mobiliser les appuis à une guerre contre les "terroristes musulmans" en Afghanistan, une guerre déclenchée juste trois jours auparavant.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont été condamnés et emprisonnés pour une période de six mois en 2004 après avoir tenté d'obtenir frauduleusement un passeport néo-zélandais au nom d'un homme tétraplégique. Ce sont plutôt les agents du Mossad Uriel Kelman et Eli Cara qui cherchaient à créer une fausse identité pour Zev Barkan.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont déclaré connaître l'identité des "pirates de l'air kamikazes" Abdulaziz al-Omari et Saeed al-Ghamdi, alors que des individus ayant exactement les mêmes noms et autres détails personnels comme la date de naissance, profession et lieu de résidence se sont révélés par la suite être bien vivants. La population de l'Arabie saoudite en 1975 était de 7 180 000 et même si l'on considère leur haut taux annuel de natalité de 30 pour 1000, et si l'on ignore le taux de mortalité infantile, le taux de natalité journalier était de seulement 590; il est donc hautement improbable que des personnes partagent les mêmes noms, dates de naissance, lieux de résidence et professions. Le passeport de al-Omari avait été volé en 1995 lorsque son appartement avait été cambriolé, à Denver au Colorado (un État où ont été actifs des agents du Mossad), et seuls des crétins voleraient l'identité de personnes ayant une apparence différente mais ayant le même nom, lieu de résidence, date de naissance et profession. Par conséquent, ces hypothétiques "pirates de l'air kamikazes" auraient dû avoir des noms tout à fait différents. C’est le FBI qui a publié une liste prétendant que les auteurs du 11 septembre incluaient Abdulaziz al-Omari et Saeed al-Ghamdi, en plus de plusieurs autres personnes qui se sont révélées bien vivantes. Même si le FBI a admis que certains pirates de l'air pourraient avoir utilisé des identités volées et qu'il n'y a « pas de preuve légale permettant de prouver l'identité des pirates de l'air kamikazes », il a nié avoir mal identifié les prétendus "pirates de l'air kamikazes" et a refusé de changer les noms, les photos ou les historiques sur leur liste - en essayant de se couvrir en incluant des multiples orthographes et alias.
Ce ne sont pas des musulmans qui étaient à l'origine du coup d'État raté en Turquie. C’est plutôt le crypto-Juif et pseudo-Rabbin agent du Mossad Tuncay Güney, qui a fui au Canada en 2004, et qui vivait en 2001 dans plusieurs villes du New Jersey, lesquels étaient des centres d'activité pour les opérateurs de Urban Moving Systems pour le Mossad.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont mis sur pied une "cellule d'Al-Qaïda" en Palestine. C’est plutôt le Mossad israélien.
Ce ne sont pas des musulmans qui avaient déjà la réputation, avant le 11 septembre, de mettre en scène des opérations terroristes de faux-pavillon, c'est-à-dire d’être capables de frapper les forces américaines pour ensuite en jeter le blâme sur un tiers. C’est plutôt le Mossad.
Ce n’est pas un musulman qui a infiltré le Pentagone et trahi son pays natal en vendant des documents classifiés à un autre pays, qui les a ensuite échangés avec l'URSS. C’est plutôt l'espion Jonathan Pollard, reconnu coupable de trahison résultant en la transmission à l'URSS de secrets nucléaires volés par l'intermédiaire d'Israël.
Ce ne sont pas des musulmans qui menaient un exercice dès 9h00 du matin le 11 septembre, exercice impliquant un avion s'écrasant dans une tour. Ce sont plutôt les responsables du Bureau de Reconnaissance Nationale (NRB), à Chantilly en Virginie.
Ce n’est pas un musulman qui, en réponse à la question « Est-ce que les ordres tiennent toujours? » (parce qu’il n’avait pas encore réagi au fait qu'un aéronef avait dévié de dix miles de sa trajectoire et filait à toute vitesse vers le Pentagone, cela plus d'une demi-heure après que les tours jumelles aient été frappées par des avions), s'est retourné pour répondre: « Bien sûr, les ordres tiennent toujours. Avez-vous entendu quoi que ce soit suggérant le contraire?". C’est plutôt Dick Cheney.
Ce n’est pas un musulman qui a été le PDG d'une société qui a conçu le "système de terminaison de vol", un contrôle à distance électronique en mesure de détourner des avions en vol et de les orienter vers un objectif au moyen d'un "système de transmission de commande". C’est plutôt le Rabbi Dov Zakheim.
Ce n’est pas un musulman
- qui, conscient qu'une fraction de billions de dollars représente tout même des
centaines de milliards de dollars, a
occupé
le poste de contrôleur du Pentagone en mai 2001, alors qu'il était déjà de
notoriété publique que
les
systèmes comptables du Pentagone étaient dans le plus complet désarroi avec
6,9 billions $ "ajustés" dans une tentative de faire correspondre les chiffres;
- qui n’a pas imprimé les reçus de ces opérations de 2,3 billions $, opérations
difficiles à repérer avec un système informatique pas encore intégré et avec de
la vieille paperasse qui pourrait ensuite être efficacement éliminée grâce à un
missile ou un crash d'avion qui détruirait l'aile de la division des
vérifications comptables du Pentagone;
- qui a ensuite
prononcé un sermon commémoratif sur la pelouse du Pentagone devant des centaines
de co-religionnaires de 40 pays, six mois après que l’attaque terroriste se soit
effectivement produite et qu’elle ait
tué au moins 34 analystes-conseillers budgétaires / comptables / experts
financiers. C’est plutôt le rabbin
Dov Zakheim.
Ce n’est pas un musulman qui était à un petit déjeuner-réunion avec Donald Rumsfeld lorsque le premier avion a frappé le WTC, et qui était au Club sportif de la marine « quand l'avion qui a frappé le Pentagone est passé par dessus le Club sportif de la marine, est allé rebondir en bas de la colline et a frappé le côté du Pentagone ». C’est plutôt Thomas E. White, qui est lié à la fraude d'Enron, qui a participé à des voyages de JINSA en Israël, avec son épouse Susan en 1997, et qui a été intronisé Secrétaire de l'Armée le 31 mai 2001, soit 27 jours après que George W. Bush ait nommé le rabbin Dov Zakheim comme sous-secrétaire de la Défense et contrôleur du Pentagone. White et Zakheim avaient été placés par Bush au Pentagone, où plus de 2 billions $ ont été transigés sans reçus, alors que les finances du Pentagone étaient vulnérables à une « attaque terroriste » visant la division de vérification comptable, comme c’est pratique!
Ce ne sont pas des musulmans qui, en 2000 ont co-écrit un document réclamant un « nouveau Pearl Harbor ». Ce sont plutôt Roger Barnett, Alvin Bernstein, Stephen Cambone, Eliot Cohen, Devon Gaffney Cross, Thomas Donnelly, David Epstein, David Fautua, Dan Goure, Donald Kagan, Fred Kagan, Robert Kagan, Robert Killebrew, William Kristol, Mark Lagon, James Lasswell, I. Lewis Libby, Robert Martinage, Phil Meilinger, Mackubin Owens, Steve Rosen, Gary Schmitt, Abram Shulsky, Michael Vickers, Barry Watts, Paul Wolfowitz, et le rabbin Dov Zakheim.
Ce ne sont pas des musulmans qui avaient un motif pour employer un "système de terminaison de vol" afin de prendre le contrôle du vol 990 d’Egypt Air (un Boeing 767) le 31 octobre 1999 (après une étrange coïncidence où le "conseiller de gestion de la douleur pour les victimes d'accidents d'avion" Ed McLaughlin du Family Enterprise Institute était la seule personne à monter à bord de l'avion fatidique à Los Angeles pour débarquer à New York) et le faire plonger dans l'Atlantique, à 60 miles au sud de Nantucket, tuant les 217 passagers à bord. Aucun d'eux n'était Israéliens, mais 33 étaient des officiers de l'armée égyptienne, incluant deux brigadiers généraux des forces aériennes et deux major-généraux de l'armée. On a ensuite vendu le concept de « pilotes kamikazes musulmans » à un public crédule. Ce sont plutôt des Juifs qui auraient eu besoin de procéder à un essai de détournement électronique d’un Boeing en plein vol, pour leur opération d'attaque terroriste imminente, qui devait ensuite être attribuée à des « pilotes kamikazes musulmans/pirates de l'air » lors de l'« enquête » du vol 990 d'Egypt Air supervisée par le juif sioniste Bernard Loeb, qui avait engagé des traducteurs juifs transcrivant les enregistrements du cockpit, pendant que le FBI menait une campagne de salissage à l’encontre du co-pilote « suicidaire ».
Ce ne sont pas des musulmans qui ont écrit en 1998 à propos d'un "événement transformateur", tel un nouveau "Pearl Harbor". Ce sont plutôt John Deutsch, Ashton Carter et Philip Zelikow.
Ce n’est pas un musulman qui était directeur exécutif de la Commission d'enquête du 11 septembre, dont l'expertise et le travail devait mener à la création et au maintien de certains mythes publics ou "hypothèses", et qui a confirmé que la guerre en Irak avait été menée pour le bénéfice d'Israël. C’est plutôt Philip Zelikow.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont publié en 1996 un document intitulé A Clean Break: A New Strategy for Securing the Realm (La cassure: Une nouvelle stratégie pour sécuriser le domaine), qui mentionne qu’il faut "retirer Saddam Hussein du pouvoir en Irak" et qui présente le concept des frappes préventives, selon lequel un faux prétexte quelconque peut être employé (opération anti-drogue, anti-faux monnayeur ou contre des armes de destruction massive) pour attirer la sympathie du public américain. C’est en fait l’Institut pour l’avancement des études stratégiques et politiques (IASPS), basé à Jérusalem et Washington, qui a expliqué comment une telle politique bénéficierait à Israël, pour le compte du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Ce n’est pas un musulman qui, dans un livre de 1995, a prédit que "Si l'Occident ne s'éveille pas à la nature suicidaire de l'Islam militant, vous verrez prochainement l'Islam militant attaquer le World Trade Center". C’est Benjamin Netanyahu.
Ce n'est pas un musulman qui en 1991 était responsable de la sécurité, qui a inspecté le garage d'une compagnie musulmane de livraison dans le WTC et qui a conclu que le garage du WTC était vulnérable à un attentat à la voiture piégée, deux ans avant que le garage du WTC ne soit réellement frappé par un attentat à la voiture piégée. Le FBI savait, mais a laissé faire, causant six morts et plus de mille blessés, cela dix ans avant que le WTC soit démoli et une semaine après que la même société de livraison ait quitté le WTC. Ce sont plutôt des officiers de sécurité israéliens et une compagnie de livraison israélienne.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont payé Ali al-Jarrah plus de 300 000 dollars pour services rendus, c'est-à-dire pour avoir posé comme « défenseur » de la cause palestinienne tout en trahissant son pays au bénéfice d'un État ennemi, et qui était un cousin de Ziad al-Jarrah, lequel a été accusé d'être l'un des dix-neuf "pirates de l'air kamikazes" du 11 septembre. C’est plutôt Israël qui a payé cet agent du Mossad.
Ce ne sont pas des musulmans qui : 1) ont diffusé l'épisode pilote le 4 mars 2001 de la série Lone Gunman, un épisode dans lequel une cabale secrète au sein du gouvernement des États-Unis désire prendre le contrôle électronique à distance d'un Boeing à destination de Boston pour le faire crasher dans le WTC; 2) ont déclaré après l'attaque du 11 septembre que personne n'avait jamais imaginé qu'un avion pourrait être utilisé par des terroristes comme missile pour attaquer des bâtiments. C’est plutôt : 1) Fox TV, propriété de Rupert Murdoch, un ami de longue date de Benjamin Netanyahu; et 2) la conseillère à la sécurité nationale Condoleezza Rice / le Président de la Commission des Chefs d'état-major conjoints Richard Myers / le Président George W. Bush / le Vice Président Dick Cheney / et le porte-parole de la Maison Blanche Ari Fleischer.
Ce n'est pas un musulman qui a dit avoir été le premier à apercevoir l'avion frapper la tour nord, qui s'est dit « quel terrible pilote » et « c'est un horrible accident », avant d'entrer dans une salle de classe et d'être informé d'un second impact, alors que le premier impact n'avait pas encore été diffusé en direct à la télévision. C’est plutôt George W. Bush.
Ce ne sont pas des musulmans qui, du mardi 2 octobre au vendredi 5 octobre 2001: 1) ont rencontré, et 2) ont reçu 3 millions de dollars de dons pour un « fond pour les victimes » de la part de Sheikh Hamad bin Khalifa Al-Thani, l'Emir du Qatar, qui a fondé la chaîne Al Jazeera en 1996 avec 150 millions de dollars de subventions, la chaîne qui diffuse des enregistrements vidéo et audio prétendument d'«Osama ben Laden» alias Emmanuel Goldstein. Ce sont plutôt : 1) George W. Bush, Dick Cheney (un "vieil ami") - Dick Cheney a également rencontré l'Emir le 20 octobre 2001 pour discuter des entretiens "Osama", Rudy Giuliani, Colin Powell, Paul Wolfowitz, et Richard Myers; 2) Rudy Giuliani, Paul Wolfowitz et Richard Myers.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fabriqué le conte de fée concernant la soldate Jessica Lynch prise en embuscade, poignardée, atteinte par balle (tout en continuant courageusement à tirer sur les Irakiens), abusée, violée, tenue en captivité dans un hôpital irakien et plus tard secourue par des forces d'élite américaines. Ce sont plutôt "des responsables américains anonymes" qui ont menti, car en fait il n'y a pas eu de "sauvetage". L'arme de Lynch était enrayée avec du sable. Lynch a été prise en charge et soignée par les Irakiens après avoir été blessée dans un accident de voiture, elle n'avait pas de "trous de balle" ni de "coups de couteau", l'hôpital n'était pas « sous haute garde » et les médecins ont même tenté de retourner Lynch aux forces américaines.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont comploté pour envahir un pays sans défense, en mentant sur les « armes de destruction massive », alors que la décision d'envahir avait déjà été prise en vue d'un « changement de régime », avec entre 655 000 et un million de morts irakiens, le déplacement de plus de quatre millions, le sacrifice de milliers de soldats et la perte de 3 billions $ en vain, dans le seul but d'enrichir quelques criminels de guerre et profiteurs de quelques milliards de dollars dans une guerre par procuration pour Israël. Ce sont plutôt George W. Bush et Tony Blair.
Ce n'est pas un musulman qui a ordonné à ses conseillers de planifier la guerre contre l'Irak à peine cinq heures après l’attaque contre le Pentagone le 11 septembre. C’est plutôt Donald Rumsfeld.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont envoyé 250 policiers faire une descente dans une maison de Forest Gate à Londres, au milieu de la nuit pour arrêter deux frères, après avoir tiré sur l'un d'eux à l'épaule; sur la base de renseignements d'une source supposée « fiable », source unique concernant une conspiration impliquant une « bombe au cyanure »; avec la libération des frères sans inculpation quelques jours plus tard, avant qu'il ne soit ultérieurement révélé que la source était un homme avec un QI de 69 qui était déjà en prison pour terrorisme. Ce sont plutôt les laquais des juifs suprémacistes: le MI5, Tony Blair et John Reid.
Ce n'est pas un pays musulman qui possède des centaines d'ogives nucléaires et des sous-marins équipés de missiles de croisière capables de transporter des ogives nucléaires ayant une portée de 900 miles. C'est plutôt Israël.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont un puissant lobby politique capable d'extorquer des sommes énormes. C'est Israël.
Ce n’est pas un musulman qui s'est vanté en disant "Nous musulmans contrôlons l'Amérique et les Américains le savent". C’est en fait Ariel Sharon qui s'est vanté: "Nous, le peuple juif, contrôlons l'Amérique et les Américains le savent".
Ce ne sont pas des musulmans qui commettent de faux « crimes haineux » contre eux-mêmes : des actes de vandalisme contre leurs propres voitures, sur leurs propres tombes, des empoisonnement de chiens, des graffitis de croix gammées sur leurs maisons, découpant leurs propres vêtements pour se dessiner des croix gammées sur le ventre. Ce sont plutôt des Juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont pris le contrôle du New York Times en 1896, ou qui justement détiennent et contrôlent la plupart des médias de masse aujourd'hui. C'étaient et ce sont en fait des Juifs.
Ce n'est pas dans un pays musulman que l’on écrase à mort des manifestants pacifistes à l'aide de bulldozers ou qu’on leur tire dessus, qu’on lance des obus sur des familles pique-niquant au bord d'une plage (ce que l’on nie ensuite) quand on veut déclencher une guerre dans les trois prochaines semaines, que l’on avertit les civils de s’enfuir après avoir fait exploser des ponts afin de pouvoir les tirer comme des canards assis, que l’on tire sur des ambulances de la Croix-Rouge ou des observateurs de l'ONU après leur avoir promis qu'ils seraient en sécurité, que l’ou bombarde une centrale électrique de sorte que plus de dix mille tonnes de pétrole brut s'écoulent dans la Méditerranée pour servir de « châtiment collectif ». C'est plutôt en Israël.
Ce ne sont pas des musulmans qui emploient régulièrement des armes atroces tels que des bombes au phosphore pour infliger des blessures graves et horrifiantes à des civils, qui ont délibérément lancé plus d'un million de petites bombes à fragmentation (dont 40% n'explosent pas à l'impact et 90% sont lancées trois jours avant le cessez-le-feu imminent) afin de pouvoir "tous les avoir pendant que c'est encore le temps". Ce sont plutôt des Israéliens.
Ce n'est pas une nation musulmane qui détient le record mondial de résolutions de Nations unies non respectées. C'est Israël.
Ce ne sont pas des musulmans qui se sont attroupés autour d’un Juif handicapé parce qu’il se trouvait sur leur terrain, qui l’ont battu à coup de massue, qui l’ont traîné sur le sol, qui l’ont attaché à un poteau pour continuer à le battre et lui donner des coups de pieds à la vue de soldats musulmans qui n'ont rien fait pour arrêter ça, alors que la police leur a simplement conseillé de verser de l'eau sur la tête de la victime pour laver le sang avant que les journalistes et les photographes arrivent. C’est plutôt une bande de quatre lâches, des colons juifs fanatiques qui ont battu un handicapé palestinien en toute impunité, confiants que les soldats juifs et la police n'agiraient pas de manière impartiale, et qui sont même revenus une semaine plus tard pour tourmenter les voisins, mettre leur maison sans dessus dessous et piller le peu de biens qu’il leur restait.
Ce ne sont pas des soldats musulmans qui ont battu et tué un Juif à coup de massue, de coups de pieds à la tête et de coups de crosse de fusil, et qui après « enquête » ont conclu que les soldats avaient «agi correctement». C’étaient des soldats de l'armée israélienne (la force de « défense ») qui ont percé trois trous dans le crâne d'un adolescent palestinien le tuant sur le coup, alors qu'il attendait tout simplement à un arrêt d’autobus, continuant à le frapper alors qu'il gisait inconscient, puis qui ont inventé une histoire comme quoi le jeune homme aurait «sorti un couteau», suggérant qu'il était «mentalement instable». Cet exemple n'est malheureusement que trop typique de la violence perpétrée par des racistes, fanatiques d'extrême-droite et suprémacistes juifs contre ceux qu'ils perçoivent comme des « animaux à forme humaine ».
Ce ne sont pas des musulmans qui ont créé une organisation mondiale nommée " Ligue anti- diffamation " (ADL) en vue de défendre les criminels musulmans en jouant la carte raciale et en accusant leurs poursuivants d'être " racistes ", " antisémites " et coupables de " crimes haineux ". C’est plutôt un Juif qui a fondé l'ADL du B'nai B'rith, en réponse au lynchage de Leo Frank, président du chapitre d'Atlanta de la société secrète juive du B'nai B'rith, qui avait été reconnu coupable du meurtre de la fillette de 13 ans Marie Phagan qui travaillait à l'usine de crayon de Frank, suivi du lynchage de Frank en réponse à la commutation de sa condamnation à mort à la prison à vie, après que la juiverie organisée ait tenté de jeter le doute sur la culpabilité de Frank en jetant le blâme sur un Noir, même si le meurtre rituel est une tradition juive reconnue. L'ADL a par la suite utilisé pour dénoncer les anti-criminels comme étant des « antisémites » chaque fois que les criminels en question se trouvent à être juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui pour des raisons politiques et pour obtenir des gains financiers, ont démoli le WTC avec des explosifs (nano-thermite) et lancé sur lui des avions télécommandés pour ensuite monter le canular des « pilotes kamikazes juifs » afin de lancer les enquêteurs sur de fausses pistes, en prétendant « investiguer » la démolition tout en promouvant «accidentellement» les mauvaises hypothèses (par exemple, l'utilisation de la bombe-H plutôt que de la thermite), et qui ont ensuite refusé obstinément de considérer une hypothèse qui est conforme avec les éléments de preuve. Ce sont plutôt des Juifs qui ont monté de toutes pièces le canular des « pilotes kamikazes musulmans » et qui ont diffusé des « travaux » fallacieux sur les démolitions, en les hébergeant sur des sites web détenus et dirigés par des juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait de la pseudo-science en refusant d’investiguer la présence du bleu métallique à Auschwitz et des explosifs au WTC, afin que leur « enquête » arrive au résultat requis financièrement et motivé politiquement. Ce sont plutôt Jan Markiewicz , Wojciech Gubala et Jerzy Labedz Sehn de l'Institut de Jan Sehm à Cracovie (fraude d'Auschwitz), et les "scientifiques" et "ingénieurs" de la NIST (fraude du WTC).
Ce ne sont pas des musulmans
- qui ont pris les commandes de l'« enquête » sur l’effondrement des tours du
WTC, pendant que la FEMA menait une
opération de camouflage,
mélangeant les tableaux 11-51 et 11-52 de NCSTAR1-9Vol2 dans leur rapport
sur l'édifice WTC7, rapport publié deux jours après la mort mystérieuse du
témoin oculaire
Barry
Jennings qui a présenté un témoignage
sur les explosions du WTC 7 (4:43: «
J'ai été pris au piège quand les deux bâtiments sont tombés ») qui a jeté
par terre les hypothèses et conclusions motivées politiquement;
- qui ont été incapables de voir leur erreurs en présumant des
températures de gaz fantastiquement élevées afin que cela concorde avec les
températures d'acier anormalement élevées, qui ont publié l’hypothèse absurde
d'un effondrement basé sur l'«
expansion thermique » avec la conclusion logique que la capacité de
cisaillement de
180 kip de quatre boulons en configuration assise serait dépassée si l'acier
est chauffé de
20 C à 32 C rendant la force capable de résister à l'expansion thermique de
191 kip, indépendamment du fait qu'aucune tour avec une structure acier ne
s'est jamais effondrée à cause des « incendies » ou des « impacts », à
l'exception des trois tours du WTC le 11 septembre;
- qui ont affirmé qu’un flambement interne des colonnes du périmètre du WTC1
entre les étages 94 à 100,
culminant à 55 pouces à la colonne 316 au 96ème étage, ce qui ne peut être
concilié avec le fait que le
moment d'inertie des colonnes (ou moment quadratique) était d’au
moins 342 ins ^ 4 le long de
l'axe mineur,
ni avec une déviation maximale de 55 pouces étant donné les conditions aux
limites fixées aux deux extrémités et une charge répartie qui aurait dû mener à l’effondrement dans les 102
minutes d'au
moins dix étages, dont plusieurs n'avaient pas eu leur protection ignifuge
endommagée par un avion et qui ne présentaient aucun incendie. C’est plutôt le
NIST, dont les meilleurs scientifiques et ingénieurs ont une
connaissance étendue de la nano-thermite, qui ont plus tard affirmé n’avoir
trouvé « aucune preuve » d'explosifs au WTC et qui ont
admis ne pas avoir pris la peine d’en rechercher la trace. Les auteurs du 11
septembre devaient s'assurer que les responsables de l' « enquête » sachent ce
qu'ils ne devaient pas trouver.
Ce n’est pas un musulman qui a annoncé le dimanche 16 septembre 2001 qu'un « passeport du pirate de l'air » (supposément celui de Satam al Suqami) a été trouvé « à plusieurs pâtés de maisons des ruines du WTC », alors que d'autres rapports affirmant que le passeport a été trouvé « dans les environs de Vesey Street ». C’est plutôt l'ancien commissaire de police Bernard Kerik, qui a été inculpé en novembre 2007 sur plusieurs chefs, y compris celui de mensonge, de fraude et de complot, ce qui est cohérent avec le fait que les lois de l'aérodynamique imposent que le passeport ait été trouvé dans les environs de Liberty Street. Le scénariste a oublié que Suqami était censé être sur le vol AA11 provenant du nord, et parmi plusieurs tentatives de la part des autorités d’évaluer où le passeport aurait dû être trouvé, aucune n'était correcte!
Ce ne sont pas des musulmans qui ont tué JFK. Ce sont des Juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont volé les élections en exploitant des machines de vote électronique, qui ont biaisé les résultats de telle sorte que la probabilité de revirement dans plusieurs États, tel qu’observé dans les résultats, était de 250 millions contre un. C’est George W. Bush.
Ce ne sont pas des musulmans qui présentent des traits de mégalomanes suprémacistes en référant à leurs ennemis comme étant des « sauterelles », des « bêtes », des « crocodiles » et des « cafards ». Ce sont plutôt des Juifs.
Ce n’est pas un musulman qui a mis en place un schème de Ponzi qui a engouffré 50 milliards $. C’est un Juif.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait un disque sur le « Wall Street Shuffle », dont certaines chansons incluent des références scatologiques. Ce sont des Juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui gouvernent le monde par procuration et obtiennent que d'autres se battent à mort à leur place dans des guerres. Ce sont plutôt des Juifs, dont le modus operandi est de sélectionner des populations d'accueil riches qui les laisseront entrer, posant comme leur « allié », tout en les drainant de leur argent durement gagné, utilisant la tromperie pour amener leur hôtes à combattre des nations plus pauvres, récoltant le butin de guerre, comme l’opium afghan, les billions perdus du Pentagone, les fonds du programme « Pétrole contre nourriture », etc., ainsi que d'autres escroqueries opportunistes telles que le retrait massif électronique de 550 milliards $ des banques. Note: certains rapports avancent à tort que la date de cet événement est le jeudi "15" septembre 2008, alors que ce devrait bien sûr être le 11 Septembre, soit le jeudi précédent le 15 Septembre.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont été expulsés de nombreux pays à de nombreuses reprises, ce sont des Juifs qui continuent à se faire expulser dès que l'hôte réalise que la seule loyauté des Juifs est envers leur propre tribu, plutôt qu’envers le pays hôte, devant lequel les juifs se font passer pour des "alliés".
Ce ne sont pas des musulmans qui ont déclenché une guerre mondiale en 1914 dans l'espoir de lancer avec succès leur canular des « six millions » de victimes assassinées, afin d'obtenir leur propre pays et de s'attirer une part importante de la richesse mondiale en « compensations », qui ont échoué, mais qui ont aussi profité de l'occasion pour annexer et piller la Russie en se livrant à de l’oppression et à d’horribles effusions de sang pour régler de vieux comptes avec les Russes qui les avaient chassés à l'ouest, loin de leur Khazarie natale. Ce sont plutôt des Khazars (faux) « Juifs ».
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait exploser la voiture de François Duprat, le tuant et mutilant sa femme; qui ont battu le Dr. Robert Faurisson au moins dix fois, le laissant avec une mâchoire brisée / des dents brisées / presque tué plusieurs fois / hospitalisé plusieurs semaines à l'hôpital, persécuté dans des batailles judiciaires, fait perquisitionner son domicile par la police; qui ont tenté de tuer Ernst Zundel au moins trois fois dans des incendies criminels et attentats à la bombe, l'ont fait déporter lui et Germar Rudolf en Allemagne pour être emprisonnés pendant des années; qui ont battu Jurgen Rieger le laissant inconscient et fait sauter sa voiture; qui ont battu David Cole, menacé de le tuer avec sa famille; qui ont persécuté et battu Joseph Burg; qui ont attaqué Frank Walus sept fois et passé proche de le tuer dans une attaque à l'acide; qui ont forcé Ivan Lagacé à démissionner de son poste d'expert crématoire sous les menaces incessantes par des voyous de la Ligue de Défense Juive (JDL); qui ont perpétré de nombreux attentats terroristes en France (acide sulfurique jeté au visage, attaques avec des barres de fer, bâtons de base-ball, gaz vaporisé, excréments épandus sur le sol); qui ont jeté l'historien David Irving en prison pendant plus de 400 jours avant qu’il soit libéré suite à l’appel d'une sentence de trois ans d'emprisonnement pour avoir prononcé deux discours et donné une entrevue à un journal 16 ans plus tôt; qui ont fait emprisonner le Dr Frederick Toben en Allemagne dix mois après qu’il ait publié ses opinions sur son site australien; qui ont imposé à des dizaines d'autres des peines d'emprisonnement, des amendes et ruiné financièrement par le démolissage de la réputation et des batailles judiciaires. Ce sont plutôt des Juifs qui tentaient d'étayer leur propre version de la « vérité » qui leur profite énormément depuis des décennies.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fabriqué un canular sur « six millions » de leurs congénères "assassinés", échafaudant une théorie de la conspiration dénuée de preuve à propos d’un complot visant à les exterminer dans des « chambres à gaz » qui – par le biais d'une énorme et illégitime saisie de terres – leur a permis d'obtenir leur propre État souverain, des profits colossaux en « compensations », des centaines de milliards de dollars en « aide » provenant de l'étranger, des « garanties de prêt », des dispensations / subventions de paiements d'intérêts, etc., tout cela leur servant désormais d'« épée et bouclier » pour pratiquer l'apartheid, opprimer et tuer leurs ennemis en toute impunité. Ce sont plutôt des Juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont été pris en flagrant pour avoir dessiné de la fausse « fumée » sur des photographies de guerre du camp d'Auschwitz. C’est plutôt le Centre Simon Wiesenthal, dont le rôle de gardien de la vérité est aussi approprié que d’offrir au comte Dracula la direction d'une banque de sang.
Ce ne sont pas des calculs musulmans qui estiment que la somme d'un ensemble de variables a + b + c + d + e... reste constante à « six millions », lorsque plusieurs variables fluctuent vers le bas, par exemple, de quelque trois millions et de la moitié de cela, en l’absence de toute révision vers le haut. C'est plutôt motivé financièrement et politiquement par des « calculs » juifs.
Ce n'est pas la chimie et la physique musulmanes qui soutiennent que des cadavres peuvent être consumés par incinération rapidement et économiquement, avec entre une livre et un kilo de charbon par cadavre, alors que les briques des fours crématoires ne sont même pas remplacées après quelques 20 000 crémations (ce qui est un peu comme s'attendre à ce qu'une Trabant soit capable de faire 100 000 miles non-stop à 100 mi/h avec 100 litres d'essence et quelques cannettes d'huile à moteur). C'est plutôt motivé politiquement et financièrement par la « physique » et la « chimie » juive.
Ce ne sont pas les musulmans - ni même la « police russe » - qui se comportent comme s'ils avaient écrit Les Protocoles des Sages de Sion. C'est plutôt la juiverie internationale, et si ça siffle comme un serpent et sonne comme un serpent à sonnette, ce n'est pas exactement bénin.
Ce n'est pas le « musulman international » qui a beaucoup de comptes à rendre. C'est plutôt le Juif international.
Le silence médiatique évident au sujet de l'effondrement de la théorie officielle de la conspiration du 11 septembre a démasqué les grands médias comme étant "les chiens de garde qui n'ont pas jappé".