Un agent de Cointelpro dans une attaque "sous fausse bannière" ratée destinée à faire contrepoids aux manifestations contre la guerre en Irak?

Note: Ne manquez pas aussi ce bilan des mensonges délirants de Chris Bollyn:

ChristopherBollyn spins tall tales on the R.J. Hender show - A counter-intelligence plant is found to be a proven liar with links to some very interesting people.
http://www.takeourworldback.com/bollynhender.htm

Traduction française :
Les mensonges délirants de Christopher Bollyn à l'émission de RJ Hender (sur les ondes de RBN)
http://www.takeourworldback.com/fr/bollynhender_fr.htm





Cointelpro Plant in Failed False-Flag Fiasco Aimed at Countering Protesters Against the Iraq War?

Original: http://www.takeourworldback.com/bollynfalseflag.htm

Traduction française: http://www.takeourworldback.com/fr/bollynfalseflag_fr.htm



Introduction

Les incendies de février 2003

La signification du bâtiment de IBM Global Network Services

La signification du bâtiment River North

La signification de la coïncidence de février 2003

Autres incidents

Possible mise en scène

Probabilités d'incendies de bâtiment

Conclusion


 


 
Introduction
 


Les incendies de gratte-ciel ne sont pas toujours le résultat d'un incendie criminel ou d'un complot. Cependant, en février 2003, il y a eu un incendie dans le gratte-ciel de 35 étages de River North, à Chicago, qui s'est déclaré dans un échangeur de chaleur dans le toit du bâtiment. Exactement une semaine plus tard, il y avait un incendie très similaire dans une tour à bureaux de 11 étages à Schaumburg, à seulement 43.5 km (27 miles) au nord-ouest du gratte-ciel de North River. L'incendie du bâtiment de Schaumburg s'est lui aussi déclaré dans un échangeur de chaleur (ou unité CVC) dans le toit du bâtiment. De même que pour les attentats du 11 septembre, les deux incendies ont débuté un peu avant 9 heures du matin. Le système de contrôle automatique du bâtiment (BAS) était entretenu dans les deux cas par la même compagnie, qui en 2006 a tenu dans leurs quartiers généraux une conférence de George W. Bush, au cours de laquelle il a délivré un discours majeur sur l'énergie.

Même s'il n'y a pas eu de victimes - contrairement à l'incendie du bâtiment administratif de Cook County qui a coûté la vie à 6 personnes le 17 octobre de la même année et dont les décombres ont révélé l'utilisation de gazoline - ces deux incendies n'étaient pas de fausses alertes. Beaucoup de fumée était visible s'échappant du bâtiment et des flammes étaient elles aussi visibles.

 

Source

Le 14 février 2003, un incendie s'est déclaré la veille de grandes manifestations mondiales sans précédent contre l'imminente invasion de l'Irak, avec un nombre record enregistré de 3 millions de manifestants à Rome. L'incendie du 7 février est survenu deux jours après que Colin Powell ait prononcé un discours plein de mensonges à l'ONU sur les prétendues armes de destruction massive irakiennes. De plus, l'incendie du 7 février a été suivi à l'intérieur d'un délai d'une heure par une explosion dans une usine chimique du Rhodes Island, à 9:30. Parce que les acides et les sels de cyanure étaient présents dans la centrale chimique, cela a soulevé l'inquiétude d'un possible mélange de ces produits avec le feu, qui produirait du cyanure d'hydrogène, c'est pourquoi les résidents et les commerçants du secteur ont été évacués à l'intérieur d'un rayon de 0.8 km (0.5 miles).

Imaginez ce que les grands titres des journaux auraient dit si les fauteurs de guerre sionistes avaient réussi à mettre en scène des boucs émissaires Arabes pour les événements du 7 février 2003:


 
Saddam et al-Qaida dans des attaques terroristes synchronisées visant un gratte-ciel et une centrale chimique
 

 
Des Musulmans terroristes essaient de faire aux Américains ce que Hitler a fait aux Juifs
 


Il n'y a plus de doute que des Israéliens ont tenté de perpétrer un attentat terroriste sous faux pavillon en octobre 2001, dans les premiers jours de la guerre en Afghanistan. Il y a eu un attentat sous faux pavillon israélien manqué le 10 octobre 2001 au Mexique, trois jours seulement après le déclenchement de la guerre. L'agent du Mossad Salvador Guersson Smecke et l'immigrant illégal israélien Saur Ben Zvi ont été pris la main dans le sac et arrêtés dans la Chambre du Congrès mexicain en possession d'armes, de grenades, de dynamite, de détonateurs et de filage en tentant de se faire passer pour des "photographes de la presse". Une telle opération aurait servi à propulser l'appui mexicain à la guerre. À la fin de septembre 2001, un sondage d'opinion mondial regroupant 37 nations mené par Gallup a découvert que le Mexique était plus opposé que la plupart des autres - si ce n'est tous les autres - à la guerre. 94% des Mexicains favorisaient une action légale sous forme d'extradition et de procès au lieu d'une action militaire.

Le 11 octobre 2001, le lendemain de l'attaque sous faux pavillon ratée au Mexique, des "déménageurs" portant des noms juifs Moshe Elmakias, 30ans, et Ron Katar, 23 ans, décrits comme "Moyen-orientaux" , ont été arrêtés par la police de Plymouth en Pennsylvanie après avoir été appréhendés avec une caméra vidéo et une cassette à ruban montrant des images détaillées de la tour Sears de Chicago. C'était trois jours après que Edward A. Coburn, 31 ans, de Fresno, en Californie, ont été arrêtés après avoir fait irruption dans un cockpit d'avion American Airlines en direction de l'aéroport O'Hare de Chicago, en train de crier "On va s'écraser sur la tour Sears", et que les terroristes aient détourné l'avion de sa trajectoire pour tenter de le faire s'écraser sur la tour Sears.

Plus récemment, en novembre 2009, un jeune employé en formation du Mossad a été appréhendé et arrêté dans une opération d'entraînement à Tel-Aviv, après avoir placé une "fausse" bombe sous une voiture. Des agents du Mossad se sont fait prendre dans un tas d'opérations ratées au cours des deux dernières décennies, en plus des offensives juives et israéliennes plus connues telles que le bombardement de l'hôtel King David, l'attentat sous faux pavillon raté connu sous le nom d' "Opération Susannah" ou l'affaire Lavon, et l'attaque du USS Liberty. Et comme pour les attaques du 11 septembre, il y a toujours quelques négateurs qui refusent de faire face à la réalité des faits.


 
Les incendies de février 2003
 

L'incendie du 7 février s'est déclaré dans un échangeur de chaleur d'une tour de refroidissement dans le toit de l'ancien quartier général de la compagnie Quaker Oats, un bâtiment de 35 étages situé au 321 North Clark Street, à River North, à Chicago. Des témoignages ont rapporté que "des flammes étaient visibles dans le toit du bâtiment" et qu' "une énorme quantité de fumée était visible" alors qu'elle s'étalait vers l'est en enveloppant une bonne partie du corridor aérien de Chicago (voir les photos ci-dessus). Des gens du secteur l'ont décrit comme "une vue très effrayante", avec quelques bâtiments voisin rendus invisibles à cause de toute la fumée, et il y avait "une énorme quantité de fumée". Un commentaire blagueur posté sur internet disait que "dans trois heures, le Président Bush aura des preuves documentées à l'effet que Saddam Hussein était responsable de la catastrophie (sic)" et un autre commentait que "... le ciel était rempli de fumée noire et grise. Je pouvais vraiment voir des flammes sortir du toit du bâtiment et à travers les fenêtres du coin nord-est. La fumée tourbillonnait en sortant du toit, mais le feu semblait contenu dans les étages du toit".

Le feu s'est déclaré à 8:30; les équipes d'intervention d'urgence incluaient environ 100 pompiers qui sont arrivés sur les lieux à 8:50 et le bâtiment a été évacué à 9:15. Les dix derniers étages du haut de la tour Quaker étaient en rénovation ("remodelés") et n'étaient pas occupés.

Le feu du 14 février a aussi débuté dans une unité de chauffage ou CVC d'un gratte-ciel au 231 North Martingale Road, Schaumburg, dans l'Illinois. Plusieurs travailleurs de la tour à 11 étages ont reçu des appels de leurs collègues à 8:45. Un rapport mentionne qu'à 9:00 "un nuage noir de fumée tourbillonnait dans le ciel" et l'employé d'IBM Ruby Williams a vu des flammes s'échapper du toit. Un entrepreneur qui a travaillé sur place a décrit la scène comme "une boule de fumée de l'enfer". Le bâtiment est situé à environ 43,5 km (27 miles) de la tour Willis (anciennement Sears) ou à moins d'un demi mile (0,8 km) de l'aéroport international d'O'Hare, deux des endroits associés aux incidents impliquant Moshe Elmakias et Edward Coburn. Le gratte-ciel de River North est à seulement un mile de la tour Willis.

Le 31 N. Martingale Road a été le domicile de services d'IBM Global Network (ou IBM Global Services) et a servi de centre de données hébergeant des sites web tels que www.e-chemicals.com. AT&T a racheté IBM Global Network Services pour 5 milliards de dollars dans une transaction qui eu lieu en 1999. À partir de février 2003, les employés d'IBM et AT&T Corp ont dû se partager l'espace dans le bâtiment de 11 étages et ces entreprises ont déménagé en 2006. Le bâtiment, acquis par Keystone Property Group pour environ 17 millions de dollars, remis à neuf et modernisé, est maintenant connu comme le Centre de Bureau (ou Corporatif) de Pointe Woodfield. La rénovation a été réalisée par Graycor Construction. Les sociétés Graycor comprennent Graycor Blasting Company Inc, qui fournit des services tels que la démolition de béton (notamment en éliminant les sols et les sous-structures), dynamitages de tunnel, dynamitage de roche, des services de conformité d'explosifs, etc.

Peu de temps avant les incendies du 7 et du 14 février 2003, l'événement International Air-Conditioning, Heating, Refrigerating Exposition (AHR Expo) de 2003 a eu lieu à la Place McCormick de Chicago, du 27 au 29 janvier 2003. Le centre des congrès est situé à environ quatre miles au sud de l'immeuble North River. Les ingénieurs participant à cet événement proviennent de dizaines de pays à travers le monde. En 2003, plus de 58 000 professionnels de CVC-R provenant de 117 pays ont participé, y compris des exposants de plus de 33 pays. En 2006 par exemple, l'Expo AHR s'est également réunie au même endroit, et l'un des participants était Gilad Lev-Shamur, un ingénieur d'installations de Haïfa, en Israël. Il y a eu des "étudiants en arts du Mossad", des "compagnies de déménagement" du Mossad, des "vendeurs d'hélicoptères jouets"du Mossad, des "photographes de presse" du Mossad, des "Palestiniens" du Mossad, etc., alors des "ingénieurs en chauffage / ventilation / climatisation / réfrigération" du Mossad serait plus qu'envisageables.

Toutefois, lorsque des agents du renseignement israélien tentent de lancer des attaques terroristes sous faux pavillon, ils sortent généralement "le grand jeu" et ne laissent rien au hasard. Si ça tourne mal, ils courent le risque d'être pris en flagrant délit avec de la dynamite, des fusils, des détonateurs, du phosphore, etc, dans ce cas ils devraient feindre l'innocence et prétendre que les accusations portées contre eux sont dues à "l'antisémitisme", ou ils diraient qu'ils avaient ces substances en leur possession parce qu'elles n'étaient que des "colorants manufacturés". Autour de février 2003, les "déménageurs israéliens" qui étaient liés à des opérations sous faux pavillons aux États-Unis étaient un peu indisposés, alors qu'ils devaient faire face à certains problèmes tels que des inculpations de fraude et d'extorsion. Des agents de l'administration Bush et de la CIA ne seraient pas en mesure de jouer la carte de l' "antisémitisme" et auraient à faire preuve de prudence. Avoir à leur disposition des faux "ingénieurs CVC" pour saboter des échangeurs de chaleur comporterait un risque relativement faible d'exposition, bien qu'il ne soit pas garanti que les résultats soient aussi spectaculaire que voulus. D'autre part, des agents israéliens percevrait les non-juifs comme l'équivalent de "bovins", "bêtes", "sauterelles", "crocodiles", "cafards", etc. et n'auraient aucun scrupule à les faire sauter ou à les laisser mourir étouffés et brûlés vifs dans l'incendie de gratte-ciel.

Maintenant, il n'y a rien de particulièrement improbable dans le fait qu'un incendie survienne à une date donnée dans un gratte-ciel à bureaux particulier, quelque part aux États-Unis, alors que le feu se développe de façon aléatoire et se produit dans un immeuble au hasard. Tel qu'indiqué ci-dessous dans la section probabilités, il y a environ 400 incendies dans les gratte-ciel à bureaux aux États-Unis par an (en date de 2003) - une fréquence légèrement supérieure à un par jour. Bien que ces incendies du 7 et du 14 février n'aient pas causé de morts, ils apparaissent avoir été plus sévères que la "moyenne de 400 par an" pour ce type de feu, à en juger par les traces qu'ils ont laissées sur le web, incluant des rapports et des observations de la fumée et des flammes. À l'inverse, des fausses alarmes dans lesquelles deux ou trois camions de pompiers se présenteraient sur les lieux, en supposant que l'entrepreneur a fait du bon travail et que personne n'ait éteint les capteurs, seraient trop nombreuses pour être inclues dans le chiffre de "400 par année". Pour certains immeubles, ce type d'incident peut se reproduire plusieurs fois par an.

Étant donné le nombre d'immeubles de bureaux et l'incidence des feux réels, la fréquence des incendies dans n'importe quelle sorte d'édifice va d'environ une fois tous les douze ans à une fois tous les six cents ans, selon l'immeuble et son utilisation. Si nous supposons une fois tous les douze ans, pour une estimation supérieure de fréquence et probabilité, alors la probabilité pour un incendie de se produire dans un bâtiment particulier un jour donné - par exemple, la veille de manifestations massives et mondiales sans précédent contre la guerre - serait de 1 sur 12 x 365,25 = 1 sur 4 383. S'il y a dix jours qui sont réputées être «significatifs», la probabilité monte à 1 sur 438. Et même avec une centaine de jours "significatifs", la probabilité qu'il n'y ait pas d'incendie se situe encore à 97,72%.

Un journal de Taiwan indique: "les incidents impliquant un incendie dans un bâtiment particulier sont des événements très rares."

Même si l'on ne tient pas compte de l'explosion dans une centrale chimique qui a suivi à l'intérieur d'une heure l'incendie du 7 février 2003 à River North, et de la similitude des incendies de gratte-ciel, cela devient très intéressant lorsqu'on considère que Christopher Bollyn a déjà travaillé à IBM Global Network Services, l'ancien centre de données d'IBM à Schaumburg et la scène où s'est déclaré l'incendie du 14 février 2003.



 
La signification du bâtiment d'IBM Global Network Services
 

Christopher Bollyn, qui demeurait autrefois à Hoffman Estate près de Schaumburg, a déjà travaillé pour IBM Global Network Services, avant d'être amené à travailler pour le journal The Spotlight (et subséquemment pour American Free Press) en 2000 dans des circonstances bizarres par un Khazar autoproclamé. Bollyn pose comme "journaliste anti-sioniste" qui dénonce les crimes sionistes tels que le 11 septembre. Toutefois, il:



1. a la réputation d'écrire des histoires sur le 11 septembre qui se révèlent souvent être des navets (canulars) ;
2. a composé le 9-1-1 pour faire venir la police à son domicile, puis est devenu belliqueux pour se faire arrêter et électrocuté au Taser;
3. ment fréquemment, notamment qu'on lui aurait dit de "boire à même la cuvette de toilette" après s'être fait arrêter, et que "Liberty Lobby est en fait détenu et contrôlé par un Juif sioniste nommé Mark Lane", et que Michael Collins Piper attaque Bollyn depuis décembre 2001 ;
4. est évidemment "protégé au plus haut niveau" et a été "visité régulièrement par un ou des individu(s) dont la plaque d'immatriculation ne peut être retracée";
5. a été amené comme journaliste au journal The Spotlight par un Khazar nommé Jerry Myers l'année qui précéda le 11 septembre;
6. formule des allégations et mène une campagne de peur et de dénigrement contre des antisionistes, fondée sur des mensonges dont on peut prouver qu'ils sont délibérés (voir le lien plus haut sur Mark Lane);
7. a épousé une agente des renseignements militaires israéliens dans le cadre d'un arrangement devant lui permettre d'obtenir la citoyenneté états-unienne;
8. travaillant en équipe avec Helje Kaskel, a filé et traqué l'antisioniste et nationaliste Michael Piper en 1994 et 1997 ;
9. est le fils de Charlotte Bollyn qui travaillait comme gouvernante pour la famille Farish et prit soin du jeune William S. Farish III, un membre de la Pilgrims Society qui est aussi un ami de la famille Bush et de la famille royale britannique avec un vaste éventail de contacts exotiques dans les services de renseignements;
10 a travaillé pour IBM Global Network Services, IBM et la famille Watson étant lourdement impliquée dans la Pilgrims Society ;
11. a collaboré pendant des années avec Eric Hufschmid, le demi-frère de la belle-fille du sioniste milliardaire et magnat des médias Rupert Murdoch;
12. était à New York au moment des attaques du 11 septembre;
13. a été financé par une façade de la Scientologie qui le payait pour "éditer" son livre ;
14. a une manie de visiter la Suisse -- un comportement qui ressemble plutôt à celui d'un coursier (mule) pour des clients de banques suisses qu'à celui d'un chercheur; voyageant par exemple de Bruxelles vers la France occidentale et centrale, et écrivant sur des "chemtrails en Suisse"
15. était un enfant de choeur à l'église épiscopale, et est allé au Moyen-Orient en 1975, s'installant même dans un kibboutz israélien en 1977-78, autour de la période de restructuration, en 1976, à l'Eglise épiscopale de Jérusalem;
13. a posté un message sur un massacre des «saints innocents» à Cana l'année après avoir servi comme enfant de chœur (acolyte) à l'église épiscopale des Saints Innocents (Holy Innocents) à Hoffman Estates, etc.

Il y a clairement quelque chose qui cloche avec Christopher Bollyn. Une personne qui est assez intelligente pour voir au travers des mensonges et des tromperies de la version officielle du 11 septembre, pouvant même supposément débusquer les faits révélant le rôle central d'Israël dans le 11 septembre, ne serait pas à ce point idiote pour croire que ça serait une bonne idée de gueuler à la police qu'elle rentrait chez lui pour "chercher des renforts". Et lorsqu'une personne propose une théorie du complot dans laquelle elle signale le 9-1-1 pour faire venir la police chez lui, et que la police se révèle impliquée dans un complot avec l'ADL, le département de la sécurité intérieure, American Free Press, Republic Broadcasting Network, l'ensemble du département de police de Hoffman Estates, des avocats (prosecutors) juifs, etc., il est clair que ce matériel s'adresse à un lectorat pour qui la logique est anathème. Si vous appelez la police de chez vous, c'est pour ça qu'ils arrivent chez vous 10 minutes plus tard. Un élément qui prétend "dévoiler" le sionisme, appelle la police de chez lui pour un prétexte quelconque, devient belliqueux de sorte qu'il est arrêté et possiblement électrocuté au Taser, pour ensuite déclarer dans l'intention de tromper que toute l'affaire faisait partie d'une conspiration destinée à se venger de lui pour avoir "dévoilé" des criminels, travaille en sachant bien que certains lecteurs feront l'erreur logique post hoc ergo propter hoc et confondront la véritable cause des événements avec de fausses causes.

Ce phénomène des faux "révélateurs de vérité" s'érigeant en "martyrs" ne se limite certainement pas à Christopher Bollyn. D'autres incluent Mike Delaney (qui, une fois, a tenté de gagner une petite gloire en provoquant un Juif pour qu'il lui assène un coup de poing), et l'australien Brendon O'Connell (un menteur avéré qui provoque des affrontements avec des juifs et s'attire des ennuis avec la police). Un autre petit indice est que tous les trois d'entre eux sont fortement associées à Eric Hufschmid, le soi-disant «anti-sioniste» qui est le demi-frère de l'épouse de James Murdoch, fils et héritier présumé du milliardaire sioniste magnat des médias Rupert Murdoch. Le Club des Menteurs d'Hufschmid est un handicap pour tout mouvement pour la vérité.

Les allégations de Bollyn, telles que son affirmation selon laquelle Michael Piper "attaque" Bollyn "depuis décembre 2001" et s'efforce de l'empêcher de s'exprimer, sont facilement démontrés comme des mensonges, comme on peut le constater en jetant un oeil à son dossier historique. Dans les archives du programme de radio de Piper de 2006, on peut voir que la majeure partie de cette année-là, Piper et Bollyn étaient en bons termes. Piper a eu Bollyn comme invité à son émission plusieurs fois, et il a même permis Bollyn de le remplacer à au moins treize reprises, en juin, quand Piper était en voyage en Malaisie.

Ou de la même façon, si les prétentions absurdes de Bollyn selon lesquelles Mark Lane serait un «sioniste» qui «détient» et «contrôle» Liberty Lobby et American Free Press depuis 1993 étaient vraies, cela est incompatible avec son affirmation selon laquelle "certains [des] meilleurs articles [de Bollyn] sont imprimés dans ce journal", à moins que Mark Lane dormait au lieu de travailler à faire rouler son "opposition contrôlée". Par ailleurs, si les "contrôleur(s) sioniste(s)" n'ont même pas censuré ses «meilleurs» articles, alors cela veut dire que tous ses articles doivent avoir été Zio-compatibles, et cela ne dit rien de bon sur la qualité de ses
articles pas-si-bons. Et si Liberty Lobby/AFP avaient vraiment été une "opposition contrôlée" et la «propriété» d'un homme qui travaillait pour une organisation des "renseignements juifs", alors pourquoi Bollyn a-t-il passé six ans à écrire pour eux?

Si Bollyn était un vrai journaliste d'investigation honnête et sincère, il ne mentirait pas ainsi. Et si un journaliste censément honnête est connu pour avoir menti sur certaines questions de fait, alors comment peut-on continuer à se fier à lui sur quoi que ce soit? Falsus in uno, falsus in omnibus.

Toutes les preuves indiquent que Bollyn est un dispositif des renseignements, à qui a été assignée la tâche de poser comme chercheur-devenu-journaliste avant le 11 septembre. Un peu comme un cheval de Troie qui est conçu pour paraître bénin, le dispositif d'opposition contrôlée va se faire une place dans les bonnes grâces de certains "chercheurs de vérité", qui placent l'intuition au-dessus de la logique, en leur disant ce qu'ils veulent entendre et en "appuyant sur tous les boutons" en mentionnant Israël, le Mossad, l'acier en fusion, les explosifs, etc., tout en offrant peu ou pas de preuves de ses allégations. Son mélange de désinformation et de vérité est conçu pour ternir le mouvement pour la vérité et pour nuire à ses chances d'obtenir l'assentiment du grand public, tout en provoquant
en même temps une scission interne dans le "mouvement" de vérité entre ceux qui réclament des preuves et ceux qui se contentent de belles phrases choc sans fondement.

Le dispositif bouc de Judas est nourri en information qu'il peut censément révéler, et demande
en retour des "dons" pour pouvoir financer sa «recherche», ou bien vend des DVD, des livres, des autocollants ou d'autres marchandises. Cette opération "attrape-mouches" sert à créer une liste de noms des donateurs destinée au gouvernement et aux agences de renseignements. Si ces derniers planifient un attentat sous faux pavillon, ils pourraient décider d'utiliser davantage de leur dispositif, qui pourrait éventuellement recourir à ses connaissances locales pour les informer de quel gratte-ciel est mal construit, a des portes qui ne ferment pas, a des réservoirs de diesel dans le sous-sol et des vapeurs de diesel, et sur la façon d'outrepasser la sécurité - par exemple en se faisant passer pour un «ingénieur».

Écoutez ce clip audio de Bollyn niant toute connaissance de l'incendie au 231 N. Martingale Road. Bollyn dit: "Je n'étais pas au courant du feu, d'accord?", ce qui ressemble un peu à un homme dans une saisie de drogue qui dirait: "Je ne savais rien au sujet de cette substance, d'accord?". Le policier pourrait bien répondre: "Vous essaierez d'expliquer ça au juge!"

Ce clip plus long en révèle davantage sur les techniques d'évitement de Bollyn. Il tente de se distancier de l'incendie en créant une fausse dichotomie entre IBM et IBM Global Network Services. Toutefois, c'était bien à IBM Global Network Services (alias IBM Global Services) que Bollyn a travaillé, et le bâtiment du 231 North Martingale Road était occupé par les IBM Global Network Services au moment où il travaillait pour eux. En outre, le 231 North Martingale Road avait une chambre de batterie qu'un entrepreneur qui travaillait dans le bâtiment a décrite comme "impressionnante comme l'enfer". Bollyn a écrit un article de désinformation sur la thermite "déguisée" en batteries dans les salles informatiques au World Trade Center et sa connaissance de la salle de batteries IBM lui aurait fourni l'inspiration pour cet article.

Une personne qui travaillait au septième étage décrit le bâtiment d'IBM Global Network Services comme "vraiment mal construit, la plupart des portes des bureaux ne fermaient pas à cause des problèmes d'angle et quand les moteurs diesels étaient en marche, l'odeur de diesel imprégnait tout le bâtiment..." S'il était mal construit, il aurait pu être une cible plus attrayante pour incendie criminel. Il y avait trois 15 000 gallons de diesel contenu dans les réservoirs souterrains, bien que, comme l'a montré la tour 7 du WTC, enflammer le diesel ne serait pas une tâche facile.

Bollyn était en Suisse le dimanche 19 janvier 2003, juste avant qu'il poste un article sur "Des chemtrails en Suisse" ("Chemtrails over Switzerland"), se décrivant comme un "journaliste américain basé en Europe". L'Expo AHR de 2003 s'est tenue du 27 au 29 janvier et l'incendie de la tour à bureaux de Chicago a suivi peu de temps après. Il était supposé travailler pour American Free Press, bien que pendant plus de six ans de 2000-2006, il a réclamé des remboursements de dépenses à AFP/ Liberty Lobby pour 60 000 $, en plus d'être payé $ 266 000 - pour un montant totale de plus de 300 000 $, tel que révélé par Mike Piper à son émission du 6 avril 2007 [4:26]. AFP a éventuellement finalement décidé qu'ils leur fallait couper dans ses dépenses, car ils avaient constaté qu'il écrivait généralement en s'inspirant d'articles trouvés
tout simplement sur le web, tout en utilisant ses dépenses pour financer d'autres activités. Et compte tenu de ses voyages en Suisse, y compris ses voyages de Bruxelles vers le centre de la France, avec un détour mystérieux à Genève, toutes les indications suggèrent qu'une de ses autres activités consiste à travailler comme coursier (mule) pour les banques suisses ou leurs clients.

Bollyn revenait soi-disant de la conférence d'Axis for Peace
du 17-18 novembre 2005 à Bruxelles (dont les participants incluaient notamment David Shayler, Thierry Meyssan et Phil Berg) pour rendre visite à Daryl Bradford Smith, situé légèrement à l'ouest du centre de la France, le jour de Thanksgiving le 22 novembre 2005. Toutefois, il a passé par Genève, en offrant des explications peu crédibles comme quoi il avait un laissez-passer de 30 $ pour voyager par train en passant par l'Allemagne. Son histoire ne tient pas debout, car il avait encore à conduire vers l'ouest en traversant les montagnes avant de pouvoir se rendre à la maison de Daryl. La route la plus directe aurait été de conduire en direction sud-ouest vers Paris, en continuant vers le sud-sud-ouest vers sa destination, un voyage de 694 km (431 miles). 786 km séparent Bruxelles de Genève par la route la plus courte via le Luxembourg et la France - ou plus longtemps encore via l'Allemagne, puis il devait prendre la route vers l'ouest pendant plus de 500 km.

Schaumburg est la scène d'un incendie de tour à bureaux qui est presque une copie carbone d'un incendie de tour à bureaux de Chicago qui a éclaté presque exactement une semaine plus tôt, d'autant plus que les deux incendies sont survenus alors que les fauteurs de guerre sionistes étaient désireux de rallier un soutien pour l'invasion de Irak. Non seulement cela, mais en plus l'incendie de Schaumburg a éclaté exactement la veille d'une gigantesque manifestation dans laquelle des millions iront protester contre l'invasion imminente. Et, parmi les 31 gratte-ciels de Schaumburg, et une estimation de 78 280 gratte-ciels à bureaux aux États-Unis, l'incendie se trouve à "survenir" chez l'ancien employeur du présumé bouc de Judas et élément des renseignements Christopher Bollyn.

Les auteurs du crime auraient leur propre "journaliste" d'opposition contrôlée qui se trouve à détenir des connaissances de première main de l'immeuble, de la même façon qu'il se trouvait à New York le jour des attentats du 11 septembre. En remettant le scoop à ce "journaliste", ils pouvaient compter sur lui pour tromper et nuire aux efforts visant à exposer la vérité sur l'événement. Il écrira que, oui, le feu était un attentat sous faux pavillon, mis en scène par les sionistes pour blâmer les musulmans afin de renforcer le soutien pour l'invasion de l'Irak. Mais, comme l'infiltrateur le suggèrera, l'incendie n'a été mis en scène par l'administration Bush, mais par Ehud Barak, ou Ariel Sharon...


 
La signification du bâtiment de River North
 


Si un bâtiment était jugé comme une "cible" significative pour une attaque sous faux pavillon simplement parce qu'il pourrait être lié au gouvernement ou à des Juifs, il resterait peu de bâtiments qui en seraient exclus et le terme «significatif» deviendrait un terme inapproprié. Le bâtiment d'IBM Global Network Services se démarque clairement, parce qu'il est lié à un agent du renseignement dont le travail consiste à aider les responsables de l'attaque sous faux pavillon dans leur guerre de l'info contre les chercheurs de vérité honnête. Cependant, il y a beaucoup de points intéressants concernant la construction du bâtiment de North River.

La tour Quaker de 35 étages de 896 000 pieds carrés située au
321 North Clark Street, a été construit en 1987 et acquis en 1989 par une compagnie du Japon Shuwa Riverfront LP. Le bâtiment a ensuite été acquis en 2000 pour une somme de 133,3 millions $ dans un achat conjoint d'une firme de promotion immobilière basée à Houston, Hines, avec New York State Teachers Retirement System, qui a été conseillé par JPMorgan Chase. En avril 2006, Hines Real Estate Investment Trust (REIT), une fiducie publique de placement immobilier basée à Houston et commandité par Hines, ce dernier ayant commencé ses activités en novembre 2004, a acquis le bâtiment du 321 North Clark Street pour 247,3 millions de dollars provenant de l'achat conjoint.

Les contrats d'exploitation pour le 321 North Clark Street (voir la pièce C sur ce lien) montrent que l'entrepreneur engagé pour l'entretien du système d'automatisation du bâtiment (BAS) était Johnson Controls Inc, une compagnie basée à Milwaukee, au Wisconsin, comptant 133 000 employés, dans plus de 1300 établissements et plus de 150 pays, dont la Suisse. Leur unité d'efficacité énergétique des bâtiments (Building Efficiency) est un prestataire de services de systèmes de contrôle et de surveillance de chauffage, de ventilation, de climatisation (CVC), de systèmes de gestion de bâtiment, d'éclairage, de sécurité et de détection d'incendie et de systèmes d'alarme dans des bâtiments non-résidentiels. Johnson Controls fournit un personnel in situ à temps plein de gestion intégrée des installations (IFM) pour plus de 600 millions de pieds carrés de locaux de bâtiment à travers le monde. Curieusement, ceux-ci incluent les installations d'IBM dans 28 pays répartis sur cinq continents, ainsi que des installations du gouvernement américain, par exemple à Cap Canaveral, bien que Johnson ait vendu sa filiale de World Services basée à Cap Canaveral en 2005.

En février 2006, Johnson Controls a accueilli George W. Bush pour un discours majeur sur l'énergie à leur quartier général d'efficacité énergétique des bâtiments à Milwaukee. Le bureau de Johnson à Washington DC a une division des "relations avec le gouvernement", dont Mark Wagner est le vice-président.

La tour de refroidissement du 321 North Clark (unité de coin SE) avait une garantie du fabricant, la compagnie Baltimore Aircoil. Elle ne couvrait que les éléments d'équipement d'origine, et a expiré le 10 mars 2008.

Les 2e et 35e (le dernier) étages du bâtiment du 321 North Clark avaient des planchers mécaniques (voir la pièce B sur le même lien ici). L'équipement sur ces étages incluait une soudeuse à arc et des torches à l'oxy-acétylène et au propane.

En 2000, la compagnie Quaker Oats a loué un espace de 475 000 pieds carrés et le deuxième plus grand locataire, le cabinet d'avocats Gardner Carton & Douglas, a loué 200 000 pieds carrés d'espace au sommet de la tour. Toutefois, Quaker Oats allait déménager dans un nouveau bâtiment en août 2002 et Gardner Carton & Douglas avaient prévu de déménager en décembre 2002 vers un autre secteur en développement de Hines à proximité. Certains observateurs ont estimé que Hines pourrait avoir du mal à trouver des locataires qui paieraient suffisamment cher pour compenser le prix d'achat.

L'
Association américaine du barreau souhaitait consolider leur personnel sous un même toit et Hines étaient désireux de signer leur premier grand locataire. Hines a fait une offre en dessous du prix des loyers sur le marché et l'ABA signé un bail de 225 000 pieds carrés dans la tour.

Le 14 mai 2002, le cabinet juridique Howrey Simon Arnold & White LLP a annoncé qu'il avait signé un nouveau bail majeur pour 50 000 pieds carrés regroupant les trois derniers étages de la tour Quaker. Le bail initial était pour sept ans avec une option de cinq ans. Les agents pour l'entente étaient Todd Lippman (parfois incorrectement identifié sous le nom "Lippmann"), David Tropp et Kyle Kamin du défunt Insigna ESG qui a été vendu à CB Richard Ellis. Le 31 mars, six semaines avant la signature du contrat, le PDG de Insignia ESG, Ken Zakin, a dit que le contrat du World Trade Center a été l'affaire de l'année pour l'industrie de la propriété commerciale, et le contrat de toute une vie pour Larry Silverstein.

Par coïncidence, cela se trouve être arrivé six semaines avant la destruction du World Trade Center dans les attentats terroristes que l'ami de Benjamin Netanyahu, Silverstein, en partenariat avec le milliardaire australien Frank Lowy (qui a combattu "dans l'underground juif", a pris le contrôle du bail du WTC et assuré les bâtiments contre des attaques terroristes pour des milliards de dollars, avec une clause stipulant que, dans le cas d'une attaque terroriste, les partenaires pourraient non seulement collecter la valeur assurée de la propriété, mais aussi être libérés de toutes leurs obligations en vertu du bail de 99 ans. Le sixième chiffre cardinal "6" semble être vu comme un chiffre chanceux par les Juifs. La sixième lettre "vav" dans l'alphabet hébreu est un portrait de l'homme, il y a six pointes à l'étoile de David, et la Mishna se compose de six ordres majeurs.

William Bradford Reynolds, de Howrey Simon Arnold & White LLP a été nommé par George W. Bush (et précédemment par Ronald Reagan en 1981) au poste de procureur général adjoint, qui relie Reynolds, et du même coup Howrey LLP, à Michael Chertoff via le département américain de la Justice. L'association Howrey-Chertoff a récemment été renforcée, alors que Chertoff a pris place dans les bureaux de Howrey à Washington DC. Reynolds est sur la commission des visiteurs (anciennement le Conseil d'administration) de la Federalist Society, qui a été créé par un groupe incluant Ted Olson. Olson -- qui a déclaré que sa troisième femme, Barbara Kay Olson, née Bracher, a logé des "appels de téléphones portables" à partir de l'avion qui s'est supposément écrasé sur le Pentagon -- a rencontré sa quatrième épouse Lady Booth du Kentucky en 2002. Ils se sont mariés en 2006,et elle a contribué aux campagnes de Barack Obama et Rudy Giuliani.

William Bradford Reynolds, I. Lewis "Scooter" Libby et Leonard Garment, ont été nommés par Bill Clinton alors que trois avocats républicains qui appuyaient la demande de pardon du fraudeur fiscal condamné et échangeur (trader) illégal Marc Rich. Le bureau de Clinton a admis plus tard que les trois n'étaient pas impliqués dans le processus de pardon, mais avait développé l'affaire juridique suggérant que l'accusation criminelle contre Rich était «viciée». Une des raisons avancées pour le pardon de Rich était son soutien aux «efforts du Mossad pour sauver et évacuer les Juifs en provenance de pays hostiles». Reynolds a également fait partie d'une équipe d'avocats représentant des Chabad Lubavitch dans leur tentative de récupérer des livres religieux des mains de la Russie. Et Reynolds a écrit un commentaire qui était fortement favorable à Irving Kristol.

John W. Nields Jr. de Howrey a "une expertise particulière en matière d'appels au criminel et dans les affaires impliquant le Congrès américain". En 1987, il était "avocat-conseil en chef pour le Comité spécial de la Chambre pour enquêter sur les transactions d'armes clandestines avec l'Iran". Dans l'affaire Iran-Contra, 8 millions$ de ventes d'armes sont restés dans des comptes bancaires suisses contrôlées par le général Secord et ses partenaires, et seulement 4 millions$ avaient été détournés vers les Contras.

Richard W. Beckler de Howrey a "représenté l'amiral John Poindexter dans l'enquête Iran-Contra ainsi que Bill Casey, ancien directeur de la CIA, dans le 'Debategate'. "

L'Association américaine du barreau a jugé Michael Chertoff comme étant "très qualifié" pour le poste de secrétaire du Département de la sécurité intérieure (Homeland Security), même si Michael Chertoff est un menteur avéré qui a fait des déclarations telles que "dans la période antérieure au 12 Septembre 2001, c'était une chose habituelle, une affaire de routine que des avions américains soient détournés ou explosent de temps à autre".

Le groupe de gestion de propriété Insignia ESG du 311 South Wacker Drive, à Chicago, était une filiale du groupe financier Insignia Inc, qui a vendu ses activités multifamiliales à la compagnie Apartment Investment and Management pour 1,4 milliards$ en 1999. Le reste de Insignia a été vendu pour environ 120 millions$ à CB Richard Ellis en 2000.

CB Richard Ellis est un lien possible entre la tour Quaker et le bâtiment du 231 North Martingale Road. Tel qu'indiqué plus haut, les agents juifs agissant pour Insignia ESG / CB Richard Ellis étaient impliqués dans la transaction de location de Howrey en 2002 à la tour Quaker. Ils auraient été au courant que les dix premiers étages étaient en rénovation ("remodelés") et n'étaient pas occupés au cours de la période transitoire autour de février 2003 avant la guerre en Irak, étant donné que Quaker Oats et Gardner Carton & Douglas avaient déjà déménagé et les nouveaux locataires supposés emménager après que la remise en état ait été achevée. Plusieurs entreprises se partagent l'espace au Woodfield Preserve Office Center situé au 20 North Martingale Road. L'un d'eux se trouve être CB Richard Ellis, qui a son bureau à Schaumburg, et se décrit comme «la seule entreprise importante, avec un véritable bureau commercial de service immobilier dans le quartier dynamique de Schaumburg», ajoutant que «Depuis sa création en 1982, le bureau de Schaumburg n'a cessé de croître, englobant désormais plus de 151 salariés ». Et la page nous informe que "Schaumburg abrite également le siège de plusieurs grandes sociétés telles que Motorola, Sears, United Airlines et Zurich Insurance". (La United Airlines, qui était basée à proximité de Elk Grove Township, à environ six miles à l'est du bâtiment de 231 N. Martingale, a annoncé en 2006 qu'elle déménagerait au 77 West Wacker Drive à Chicago.) Le personnel de CB Richard Ellis ne pouvait pas manquer de voir le bâtiment à 11 étages d'IBM Global Network Services à moins d'un mile de là.

En 2003, Kenneth L. Zakin, l'ancien directeur de gestion de Insignia ESG / CB Richard Ellis, qui a reconnu le "contrat d'une vie" de
Larry Silverstein, a rejoint Newmark Knight Frank en tant que directeur général de gestion. Ses opérations incluent la tour de la Bank of America, à Miami, en Floride (47 étages, 625 mètres), le tour Great American, à Phoenix, en Arizona (24 étages, 320 mètres) et la tour Hato Rey, à Puerto Rico. Zakin devenu premier vice président de Lehman Brothers en novembre 1988 et a été directeur et président de NY Real Estate Services 1 Inc., une corporation du Delaware affiliée à Lehman Brothers. Barbi A. Zakin et Kenneth L. Zakin ont fait un don à la 92e rue Y de New York, qui a été fondée en 1874 en tant que Young Men's Hebrew Association.

CB Richard Ellis Group, classé au 464e rang dans la liste des 500 meilleures
compagnies américaines de l'édition de 2009 du magazine Fortune, a son siège social au 11150 Santa Monica Blvd., Los Angeles. C'est à 1,9 miles d'une adresse qui a été associée (par une recherche de nom de jeune fille) avec Bosmat Merimsky, un officier des renseignements militaires israéliens qui a épousé Christopher Bollyn afin de pouvoir s'établir aux États-Unis. Elle vit maintenant à New York avec Jacob "Cobi" Babchuk, qui vivait lui aussi autrefois à Los Angeles. Babchuk travaille pour le Platinum Funding Group, dont le fondateur (1992) président et PDG Eyal Levy se spécialise dans le "financement et la restructuration des opérations non conventionnelles dans le monde entier et a travaillé pendant plus de 25 ans pour des contrats du gouvernement et des agences, y compris le financement des contrats du gouvernement, de l'analyse de crédit et des ventes aux forces armées américaines, la NASA, le FBI et la CIA ». Platinum est financé par JPMorgan Chase et NM Rothschild & Sons.

CB Richard Ellis, le
Platinum Funding Group et la banque suisse Credit Suisse utilisent tous les services de la compagnie de Larry Sharpe, Neo Sage, basée à NY, qui conseille les organisations sur la façon d'avoir un avantage sur leurs concurrents - ou conseille les personnes sur les façons de réussir et d'influencer les autres. Le Credit Suisse a des bureaux partout dans le monde, incluant Chicago et Northbrook dans l'Illinois, et à Tel Aviv en Israël. Les emplacements UBS incluent Herzliya Pituach en Israël et Chicago et Barrington dans l'Illinois.

En novembre 2002, Stephen F. Olsen a été nommé directeur de gestion du programme d'investisseurs de CB Richard Ellis Global Net Lease Partners, travaillant dans des bureaux à New York.

Le 3 mars 2003, Kyle B. Kamin a été promu de son poste de directeur adjoint à celui de directeur pour le Office Brokerage Group de Insignia ESG. Le 15 mars 2007, Kamin a été promu premier vice-president chez CB Richard Ellis. À 30 ans, il était le plus jeune PVP dans leur région de Chicago. David S. Tropp, qui en 2001 était de courtier de l'année dans la région du Midwest, est devenu premier vice-président avec CB Richard Ellis, se joignant au cabinet après sa fusion avec Insignia/ESG. Todd S. Lippman, qui a reçu un certain nombre de prix de courtier de l'année, est devenu un vice président exécutif chez CB Richard Ellis. Il a été intégré au cercle Colbert Coldwell de 2008 pour son travail comme professionnel de vente d'élite.

Comme CB Richard Ellis, Hines est un potentiel lien commun entre la tour Quaker et le
gratte-ciel du 231 Martindale Road North, quoique pas très significatif. En 2000, le portefeuille Hines incluait "plus de 660 propriétés". Toutefois, certains de ces autres projets de Hines étaient situés à North Martingale Road, Schaumburg. Hines a géré le centre corporatif Woodfield (par opposition à Woodfield Pointe). Le complexe de six bâtiment comprend le 200 N. Martingale Road, à quelques centaines de mètres d'IBM Global Network Services. Ces bâtiments sont des gratte-ciel appartenant à la catégorie des 7 étages ou plus, variant de sept à vingt étages. 425 et 475 ont respectivement vingt et douze étages au-dessus de sa catégorie. La gestion de Hines du 425/475 Martingale N. leur a valu un prix en 2004. Le portefeuille Hines comprenait également le Woodfield Preserve Office Centre phase II, une "tour à bureaux à faible hauteur" de 342 000 pieds carrés située dans la banlieue de Chicago, à Schaumburg, et achevée en 2001. Ce bâtiment peu élevé est situé au 20 North Martingale Road, à seulement 0,7 mile (1,13 km) du gratte-ciel à 11 étages qui fut le siège social d'IBM Global Network Services, au 231 North Martingale Road.

Le gratte-ciel d'IBM Global Network Services était le meilleur choix pour une attaque sous faux pavillon, car les autres n'avaient évidemment pas d'agent des renseignement et pseudo-journaliste pouvant être utilisé comme une opposition contrôlée.

Hines a signé des contrats avec la firme de capital-investissement américain le groupe Carlyle (The Carlyle Group). En mars 2000, Hines a annoncé qu'en vertu d'une acquisition conjointe entre le Système de retraite de la fonction publique de Californie (CalPERS) et Hines, il avait acquis le centre technologique Woodside à Redwood City, en Californie. La propriété a été achetée par le groupe Carlyle. Chris Jacobs de CB Richard Ellis a servi d'intermédiaire pour la transaction. En août 2007, le groupe Carlyle a vendu One Wilshire à Hines REIT. One Wilshire est un centre de données de 30 étages situé à Los angeles, abritant de nombreux fournisseurs de services de télécommunications.

En 2006, Hines, dans une acquisition conjointe avec RREEF, le bras d'investissement immobilier de la Deutsche Bank, a acquis le parc à bureaux
de Fort Halstead situé à proximité de Sevenoaks, à Kent, au Royaume Uni. L'installation de 300 acres a été achetée à QinetiQ, la compagnie de technologie de défense britannique qui a également des bureaux là-bas. L'installation est louée à long terme à QinetiQ et à la Defense Science Technology Limited (DSTL), qui fait partie du ministère britannique de la Défense. L'ex-directeur de la CIA George Tenet a servi comme directeur indépendant et non-exécutif au conseil d'administration de QinetiQ entre octobre 2006 et janvier 2008. Tenet a dit à George W. Bush que c'était un "slam dunk" (lancé-coulé) d'affirmer que Saddam Hussein possédait des armes de destruction massive. En février 2003, le groupe Carlyle a acquis une part de 33,8% dans QinetiQ pour £ 42 millions. Avant l'introduction en bourse, la propriété a été divisée entre le ministère de la Défense (56%), le groupe Carlyle (31%) et le personnel (13%).

David Levrier a été la principale influence dans la formation des services gouvernementaux Hines Inc. (Hines Government Services Inc), qui se spécialise dans les marchés publics fédéraux.

Mesirow Financial, qui a annoncé en août 2001 qu'elle étendait sa présence dans la tour Quaker au 321 N. Clark Street de 50 000 à 75 000 pieds carrés, comprend des gens comme le vice président David S. Israel; Richard S. Mesirow, un ancien membre du conseil de l'American Jewish Committee et de la Fédération juive de Chicago; Richard H. Bergman, affilié au Fonds Juif Unifié (United Jewish Fund); et Paul H. Blumberg, un ancien membre du Conseil juif pour les services à la jeunesse (Jewish Council for Youth Services). En 2006, Mesirow a annoncé qu'elle consoliderait le personnel dans deux emplacements, au 321 et au 350 North Clark dans un bâtiment nouvellement construit, au numéro 353.

En juillet 2006, David Zwick, un premier administrateur-gérant chez Mesirow Financial, a été mis en congé payé administratif, après qu'un jury de New York ait statué qu'il avait participé à un régime de rebond illégal quand il dirigeait une firme de courtage obligataire SunCoast Capital Group, basée en Floride. Todd Cohen, qui a déjà réglé avec la Commission d'échanges et sécurités (Securities and Exchange Commission) en versant plus de 130 000 $ en restitution et d'amendes, a co-fondé SunCoast avec David A. Zwick.

En septembre 2009, Credit Suisse Group AG était en pourparlers avec Mesirow Financial. La banque suisse, qui gère des actifs de 14,5 milliards$, était intéressé à acheter Mesirow Advanced Strategies, une unité de 11 milliards$ qui, comme le Credit Suisse, place les fonds des clients dans des fonds spéculatifs (hedge funds). En octobre 2009, un groupe d'investisseurs dirigé par le PDG
de Mesirow Financière, James C. Tyree, a acheté le Chicago Sun-Times et un groupe de 58 journaux locaux.

Albert M. Friedman, président de Friedman Properties, a gagné le surnom de «maire de river North» en raison du nombre de propriétés dans la zone dans lesquelles il a investi et qu'il a restaurées ou réaménagées. Un exemple notable est le bâtiment historique de Medinah Temple et le bloc Tree Studios. Le Medinah Temple a été construit en 1912 comme siège social du chapitre de Chicago des Shriners. Tant le Medinah Temple que Tree Studios ont été sauvés de la démolition, mais le premier a été adapté pour servir d'espace commercial, comme maison et magasin de meubles. Le titre complet des Shriners est l'Ancien Arabic Order Noblea Mystia Shrine et les initiales de ces mots peuvent être réarrangées pour former «maçon». Friedman a contribué aux campagnes fédérales d'un certain nombre de démocrates, y compris Rahm Emanuel en octobre 2001. En août 2006, Friedman Properties a acquis le siège social de Mesirow au 350 North Clark Street pour environ 19 millions$. Friedman a également eu un investissement dans le site voisin de la nouvelle tour de Mesirow.

Il n'y a pas de lien clair entre l'Eglise de Scientologie et ces bâtiments. L'Eglise a une Mission à 2720 S. River Road, Suite 45, Des Plaines, Illinois 60018 (Mission du Nord-ouest de Chicago), qui est située à environ 14 miles à partir du bâtiment 231 N. Martingale Road. Son centre situé au 410 S. Michigan Avenue, Chicago, IL 60605 (centre scientologique de Michigan Avenue) est à un peu plus d'un mile de 321 N. Clark Street.




 
La signification de la coïncidence de février 2003

 
Jeudi le 30 janvier 2003, Tony Blair s'est rendu aux États-Unis, faisant escale à Madrid pour s'entretenir avec le Premier ministre espagnol Jose Maria Aznar. Le 31 janvier, Blair et George W. Bush ont tenu un sommet sur l'Irak à Camp David et à la Maison Blanche. Les détails de la rencontre de deux heures à la Maison Blanche sont sortis trois ans plus tard, dans une note vu par Philippe Sands, un QC et professeur de droit international. La note, connu comme la "Note Manning", a révélé que Bush a fait clairement savoir que les Etats-Unis avaient l'intention d'envahir l'Irak, même s'il n'y avait pas de nouvelle résolution de l'ONU et même si les inspecteurs de l'ONU n'ont trouvé aucune preuve d'un programme irakien d'armes illégales. Bush a dit à Blair que les États-Unis envisagent un moyen de contourner le fait qu'ils n'ont pas été en mesure de trouver des preuves d'armes interdites. Cela impliquerait de « faire voler des avions de reconnaissance U2 avec une couverture de combat au-dessus du territoire irakien, peint aux couleurs de l'ONU", dans l'espoir que Saddam soit provoqué et tire sur les avions. Les fauteurs de guerre seraient alors en mesure de citer cette "violation des résolutions de l'ONU" par l'Irak comme un autre prétexte pour l'invasion. Blair a été cité comme ayant dit qu'il était "solidement avec le président et prêt à faire tout ce qu'il faudra pour désarmer Saddam".

(La "note de Downing Street", qui est encore davantage un "pistolet fumant", fait référence à un mémo secret d'une rencontre
du 23 juillet 2002 de personnalités haut-placées du gouvernement britannique, de la défense et du renseignement, discutant de la marche vers la guerre. Mais à la fin de novembre 2009, un nouveau mémo de 2002 a refait surface dans le cadre de l'enquête sur la guerre en Irak, présidée par Sir John Chilcot. Cela a montré que le 29 juillet 2002, soit six jours après la rencontre de la "note de Downing Street", le procureur général d'alors Lord Goldsmith a écrit à Tony Blair l'avisant que «le changement de régime» ne constituait pas une base légale pour la guerre, et que la Grande-Bretagne ne pourrait justifier une invasion par des raisons de légitime défense parce que l'Irak n'était pas une menace pour le Royaume-Uni. Lord Goldsmith, qui est juif, a finalement été "convaincu" de changer d'avis par la clique et les contrôleurs de M. Blair. Goldsmith a beaucoup maigri au cours de cette période, et s'est comporté de façon relativement honorable comparativement au perfide Blair, qui a nié que Goldsmith l'ait averti que la guerre serait illégale.)

Le 5 février 2003, Colin Powell, s'est adressé à l'Assemblée générale de l'ONU. Parmi ses déclarations on retiendra: «Nous savons que l'Iraq possède au moins sept de ces usines d'agents biologiques mobiles. [...] Il ne fait aucun doute que Saddam Hussein possède des armes biologiques. [...] Notre estimation prudente est qu'aujourd'hui l'Irak a un stock d'entre 100 et 500 tonnes d'agent d'armes chimiques. [...] Nous avons également des sources qui nous disent que, depuis les années 1980, le régime de Saddam Hussein a expérimenté sur des êtres humains de manière à perfectionner ses armes biologiques ou chimiques. [...] il n'y a aucun doute dans mon esprit, ces élicites (sic) efforts pour s'en procurer montrent que Saddam Hussein est très intéressé à mettre en place la pièce-clé manquante de son programme d'armes nucléaires, la capacité à produire des matières fissiles."

Powell et les fauteurs de guerre espéraient que leurs mensonges au sujet des «armes», susciteraient une résolution des Nations unies. Le jeudi 6 février, Bush a déclaré que "le jeu est fini" pour Saddam Hussein. Le 7 février, Donald Rumsfeld est arrivé en Italie pour entamer une série de réunions avec des fonctionnaires européens. Le ministre russe des Affaires étrangères Igor Ivanov a déclaré que la Russie ne voit aucun motif pour faire passer une nouvelle résolution autorisant le recours à la force contre l'Irak. Le 10 février, les plans des fauteurs de guerre pour influencer l'opinion ne réussissaient pas très bien, avec les propositions de blocage émises par la France, l'Allemagne et la Belgique en vue d'augmenter les défenses de la Turquie en cas de guerre.

Le samedi 8 février, 20 000 manifestants anti-guerre ont manifesté pacifiquement dans la ville de Munich couverte de neige, nécessitant 3500 policiers pour protéger une conférence sur la sécurité à laquelle Donald Rumsfeld et d'autres étaient invités. Les manifestants portaient des pancartes telles que "Rummy Go Home". Autour de cette date, plus de 700 femmes ont posé nues sur une colline, en Australie, en formant les mots "No War", et environ 30 femmes se sont dépouillées dans la neige à New York pour épeler les mots "No Bush". Il y a eu beaucoup de manifestations au cours des prochains jours, y compris un "mouroir" ("die-in") à l'Université de Floride du Sud. Le 12 février, la lame de fond de l'opinion publique anti-guerre avait surpris bien des campagnes en Grande-Bretagne, et il était déjà prévu qu'un million de manifestants pourraient arriver à Londres le samedi matin suivant. Plus de 450 organisations et groupes, dont Greenpeace, AmericansAgainst the War et Britons versus Bush - un groupe de chauffeurs de taxi de Bedford - se sont joints à 11 partis politiques, y compris le SNP, les libéraux démocrates, Plaid Cymru et les Verts, et se sont affiliés à la Coalition Stop The War.

D'ici le 13 février, la ville et les fonctionnaires du comté s'étaient déplacés à Washington DC, pour les manifestations anti-guerre. Le 14 février, United for Peace and Justice, un regroupement de campagne américain, a estimé que 603 manifestations anti-guerre avaient été organisées à travers le monde. Le crescendo de l'opposition a culminé avec une estimation de six à trente millions de manifestants dans le monde entier pour le samedi 15 février. L'estimation inférieure de la BBC de "six millions" est vraisemblablement trop faible, puisque l'estimation de Rome atteignait un record de trois millions, vérifié par le Livre Guinness des records dans son édition 2004 et dans une édition spéciale dixième anniversaire. Jusqu'à 375 000 personnes ont manifesté à New York, la manifestation mettait en vedette une marionnette géante représentant le Président Bush portant des seaux de sang et de pétrole. La faible participation en Israël, d'aussi peu que 1500 à 3000, confirme que les juifs israéliens ont été de fervents partisans d'une attaque militaire américaine contre l'Irak.

La page de Wikipédia sur la préparation de la guerre a fait ce bilan pour la période allant du 5 au samedi 5 au 15 février, qui comprend les deux incendies de gratte-ciel à bureau du 7 et du 14 février:

En février 2003, le secrétaire d'État américain Colin Powell s'est adressé à l'Assemblée générale des Nations Unies en poursuivant les efforts américains en vue d'obtenir une autorisation d'invasion de la part de l'ONU. Powell a présenté des preuves selon lesquelles l'Irak produisait activement des armes chimiques et biologiques et avait des liens avec al-Qaïda. Suivant l'allocution de Powell, les États-Unis, le Royaume-Uni, la Pologne, l'Italie, l'Australie, le Danemark, le Japon et l'Espagne ont proposé une résolution autorisant l'usage de la force en Irak, mais des membres de l'OTAN tels que le Canada, la France et l'Allemagne, ensemble avec la Russie, ont vivement encouragé la poursuite des relations diplomatiques. Face à un vote perdant ainsi qu'un possible droit de veto de la France et de la Russie, les États-Unis, le Royaume Uni, l'Espagne, la Pologne, le Danemark, l'Italie, le Japon et l'Australie ont finalement retiré leur résolution. [51] [52]


Avec l'échec de leur résolution, les États-Unis et leurs partisans ont abandonné les procédures auprès du Conseil de sécurité et ont décidé de poursuivre l'invasion sans l'autorisation de l'ONU, une décision d'une légalité douteuse au regard du droit international. [53] Cette décision a été largement impopulaire dans le monde entier, et l'opposition aux invasion s'est manifestée le 15 février dans une action mondiale de protestation anti-guerre qui a attiré entre six et dix millions de personnes dans plus de 800 villes, ce qui en fit la plus grande protestation dans l'histoire humaine, selon le Livre Guinness des Records du Monde.


Dans la deuxième semaine de février, les manifestations anti-guerre ont été organisées afin de culminer le samedi 15 février 2003. Ainsi, l'heure idéale pour mettre en scène un incident sous faux pavillon qui soit en mesure de faire basculer l'opinion publique et dissuader les gens d'aller aux manifestations aurait été le vendredi 14 février, le 7 février étant un peu moins idéal, mais encore potentiellement utile pour obtenir un soutien pour une nouvelle résolution de l'ONU.


 
Autres incidents
 


Le 17 octobre 2003, six personnes ont été tuées dans un incendie dans le bâtiment administratif du comté de Cook. Ce gratte-ciel dépassant de 460 pieds et 36 étages le niveau de la catégorie "immeuble de grande taille" est situé au 69 West Washington Street, à Chicago. Le feu a pris au 12e étage dans une chambre de stockage élevée de 6 pi par 18,3 pi par 8,7 pi, dans la salle 1240, dans le bureau de la division des services d'affaires du secrétaire d'État. Le directeur de la sécurité incendie a quitté le bâtiment à 4:00 de l'après-midi le jour de l'incendie, une heure avant qu'il éclate, et il n'y avait pas de gicleurs au-dessus du hall. Officiellement, il a été conclu que la preuve était incompatible avec la thèse d'un incendie criminel, bien que la cause ait été classée comme «indéterminée». Mais il y avait des preuves indiquant un incendie criminel, car les débris ont révélé des traces d'essence, même si un chien renifleur n'a pas détecté l'essence.

Le Service d'incendie a conclu qu'une personne avait déclenché l'incendie avec de l'essence, mais le témoignage d'un "expert indépendant" avec un nom juif - Jeff Eaton - contredit cela et dit qu'il n'y avait "aucune preuve" d'incendie volontaire. Cependant, la police a déclaré qu'elle étaient "incapable de déterminer la cause réelle de l'incendie". Ceux qui sont morts ont été pris au piège dans la cage d'escalier enfumée du sud-est, car les portes étaient verrouillées.

Le rapport du NIST sur l'incendie du bâtiment administratif du comté de Cook a été écrit par Daniel Madrzykowski et William D. Walton. Toutefois, la portée de cette étude ne débute qu'après qu'un petit incendie ait éclaté dans une salle d'entreposage, et se termine 16 minutes et demie plus tard alors que le service d'incendie de Chicago avait commencé à combattre l'incendie. Le NIST ignoré la question de savoir comment le feu a débuté. Daniel Madrzykowski a aussi dirigé l'enquête du NIST pour l'incendie du club de nuit de la Station du Rhode Island en février 2003.

Le premier signal d'alarme d'incendie a retenti à 17:00:16. À 5:00 de l'après-midi, un occupant de la salle 1240 a senti de la fumée, alerté les autres occupants et tous ont commencé à évacuer. Un autre occupant est allé enquêter et a trouvé un petit feu au sommet d'une série d'étagères murales dans une salle d'entreposage, sous un luminaire intégré au plafond. Divers articles de bureau - principalement des papiers, formulaires, brochures et boîtes d'enveloppes - étaient entreposés sur les étagères.

Une version légèrement différente est donnée à la page 363 du rapport complet de 1183 pages, préparé par James Lee Witt Associates de Washington DC. D'après cette chronologie, l'un des occupants féminins a senti de la fumée, l'a mentionné à ses collègues, a regardé sa montre et a noté qu'il était 4:57 de l'après-midi. Elle est allée enquêter et a vu une flamme jaune-orange sur l'étagère du haut d'une bibliothèque à l'intérieur d'une salle d'entreposage dont la porte était toujours ouverte.

L'auteur a mené une expérience dans laquelle une feuille de papier A4 était tenue juste au-dessous d'une ampoule à incandescence de 100 watts, à une distance d'un demi-pouce ou moins. Après plus d'une minute, le papier était encore en parfait état, seulement légèrement chaud au toucher.

La température d'allumage du papier est populairement connue comme étant autour de 451 ° F. Prenant l'extrémité inférieure de la fourchette de températures d'auto-allumage pour le papier selon Wikipedia, nous avons 424 ° F ce qui correspond à 218 ° C. Le papier de format A4 est de 210 x 297 mm = 0,0624 mètres carrés. En supposant que les 100 watts aient été dirigés sur le papier - ce qu'il n'était pas, puisque la lumière rayonne dans presque toutes les directions (presque 4π stéradians) - la chaleur absorbée pourrait grimper jusqu'à 1602 watts par mètre carré, en supposant qu'aucune n'ait été réfléchie.

Selon la loi de Stefan-Boltzmann pour un corps radiant gris, le transfert de chaleur par rayonnement est donné par:

P / A σ = e (T4 - TC4)

... où:

* E est l'émissivité
* Σ (sigma) est la constante de Stefan de 5,67 x 10-8 W/m2.K4
T * et Tc sont les températures absolues en Kelvin respectivement du corps radiant chaud et du milieu ambiant froid
* P / A est la densité de puissance de la chaleur rayonnée

... on peut voir que l'hypothèse d'une émissivité de 1, une température radiante de 218 ° C et une température ambiante de 100 ° C, on obtient:

P / A = 0,0000000567 (4914 à 3734) ~ 2,198 W/m2

... puisque la chaleur émise par le journal, qui est supérieure au maximum de 1,602 W/m2 absorbé tel qu'obtenu précédemment. L'ampoule ne chauffe pas l'air ambiant pour atteindre 100 ° C, ce qui sous-estime la chaleur émise par le papier. Étant donné que le papier n'est pas un corps radiant noir, il ne rayonnera pas autant que si son émissivité avait été de 1, mais de même, il n'absorbe pas la totalité des 100 W d'énergie consommée par la lumière, et en tous les cas, ce n'est pas toute cette énergie qui aurait une incidence sur le papier. Ainsi, on pourrait voir que le papier atteindra une température d'équilibre qui est considérablement inférieure à sa température d'auto-allumage.

L'incendie du bâtiment administratif du comté de Cook est survenu le jour après la sortie (en Allemagne et en Autriche) du film Baltic Storm (Tempête baltique), avec Helje Kaskel et les enfants Bollyn, Christopher Jr. et Catherine qui sont identifiés parmi la distribution. Ce fut également au même moment où une étude du département d'Etat a été publiée, montrant que bon nombre des problèmes liés à l'occupation de l'Iraq avaient été prévus mais ignorés par le Pentagone.

Fazlur Khan, employé par Skidmore, Owings & Merrill et considéré comme le "père de la conception tubulaire pour gratte-ciel", a conçu une structure de tubes en béton pour le bâtiment administratif du comté de Cook, qui plus tard sera utilisée dans une version modifiée du concept pour la tour Sears (aujourd'hui Willis), et la structure encadrée tubulaire a été utilisé pour le World Trade Center. Skidmore, Owings & Merrill ont été les architectes du 321 North Clark Street, à River North ainsi que le
bâtiment administratif du comté de Cook situé au 69 West Washington et la Tour Willis.

Moins d'une heure après l'incendie du gratte-ciel à River North, le 7 février 2003, une explosion s'est produite dans une usine chimique à Cranston, dans le Rhode Island. Un ouvrier a été grièvement blessé et a perdu un peu de sa capacité de vision quand une trappe de ventilation en plastique lui a explosé au visage après qu'il l'ait tapoté avec un petit marteau. Selon le rapport de l'incident survenu à Technic Inc, la production de sels de cyanure d'argent avait été temporairement suspendue à la date de l'explosion due à l'absence d'employés. En conséquence, la direction avait chargé les salariés restants de nettoyer leurs aires de travail. Le travailleur qui a été gravement blessé a déclaré aux enquêteurs qu'il faisait le ménage sur la mezzanine 2 lorsqu'il a entendu un sifflement provenant du conduit d'évacuation relié au réservoir 8. Il a dit que ça sonnait comme si le canal était bloqué. Après avoir tapoté sur le conduit avec un petit marteau, il lui sembla avoir entendu quelque matériau léger desserré tomber dans le réservoir. Cependant, parce que le conduit sonnait comme s'il était encore bloqué, il frappa à nouveau. Un instant plus tard, vers 9h30, le conduit a explosé, le projetant sur le sol. Il y a eu une explosion secondaire et du feu, et les entreprises et les résidents ont été évacués au-delà d'un rayon de plus d'un demi-mile.

Le lendemain de l'explosion, les enquêteurs n'avaient "pas trouvé de réponses faciles" permettant de savoir pourquoi un conduit d'évacuation en plastique aurait éclaté et pris feu. L'enquête
de la US Chemical Safety Board (CSB) a été dirigée par le chercheur principal, Randy McClure, et comprenait le Dr Isadore (Irv) Rosenthal qui a été nommé par Bill Clinton en novembre 1998. Rosenthal a été l'un des dix membres de l'enquête dirigée par James A. Baker III sur l'accident de la raffinerie British Petroleum, à Texas City, le 23 mars 2005. Baker est un membre de la Pilgrims Society et Bohemian Grove.

Une conspiration hypothétique dans laquelle l'explosion de Technic a été organisée comme une tentative d'attentats sous faux pavillon pourrait commencer en proposant que les travailleur(s) absent(s) faisaient partie du complot. Le ou les absent(s) auraient dû savoir que l'absence des employés pourrait entraîner la suspension de la production d'un produit particulier, alors que les travailleurs restants auraient à nettoyer leur aire de travail. Un infiltrateur absent aurait caché des matériaux hypersensibles aux chocs dans un conduit d'échappement pour le bloquer dans l'espoir que le lendemain, un travailleur participant au nettoyage et à l'entretien découvrirait le blocage et essaierait de le dégager, avec des résultats violents.

Ce type d'attentat sous faux pavillon aurait l'avantage de comporter un risque très faible que le complot soit révélé. Se trouvant face à un éventail judicieux de mélange explosif, les enquêteurs pourraient conclure, comme dans le rapport officiel sur l'incident de Technic, que "à cause des années d'accumulation de matières solides [...] et de leur mélange, de nombreux matériaux auraient pu entraîner des réactions violentes comme celle qui a causé cet incident". Après que les enquêteurs aient admis le fait que «les coups de marteau produiraient beaucoup moins d'énergie qu'une cigarette allumée, une étincelle électrique ou une flamme nue», ils pourraient réduire la liste de suspects par élimination pour aboutir aux composés instables qui auraient pu avoir été formés à partir de nitrate d'argent et d'ammoniac comme l'azoture d'argent et l'amide d'argent, ou de la nitrate d'argent réagissant avec le citrate d'ammonium ou de l'hydrosulfite de sodium. L'inconvénient est qu'il n'y aurait aucune garantie de succès, de sorte que les auteurs auraient à mener plusieurs actes semblables d'infiltration et de sabotage en partant du principe qu'un ou deux d'entre eux réussiraient probablement.


Technic est le distributeur nord-américain exclusif pour les mélangeurs planétaires / dégazeurs Mazerustar (brevetés au Japon). Même en 1992, une application de ces mélangeurs planétaire serait de mélanger des "mixtures fortement exothermique", telles que l'oxyde de fer et l'aluminium. Les produits de poudres usinées de Technics Division incluent des poudres d'argent atomisé et des alliages, des poudres d'or atomisées et des alliages, et des poudres d'argent-palladium atomisées. La photo de leur poudre d'argent atomisé 625 montre que le diamètre des particules se situe pour la plupart entre 1 et 10 microns. Toutefois, en supposant qu'il n'y avait pas d'acte criminel et que l'incident était dû à une accumulation physique de matériaux sur plusieurs années, l'incident du 7 février montre que même ces matériaux sont susceptibles de réagir avec une force explosive.

Une femme très intéressante se trouvait sur place au Rhode Island afin d'offrir toute aide "nécessaire" après l'explosion: Jimmie Carol Oxley, docteure en chimie et professeure de chimie à l'Université de Rhode Island, avec seize ans d'expérience en "matériaux énergétiques". Elle est une experte en explosifs, qui a publié plusieurs articles tels que "Explosifs non traditionnels: Problèmes de détection potentiels", publié dans Terrorism and Political Violence, en 1993. Elle a organisé un cours sur les explosifs auquel a assisté la NAVSEA (Indian Head), la WES (armée), Lockheed Martin, Raytheon, etc, et collabore avec des personnes de l'Institut Weizmann, de l'Université hébraïque, et la police israélienne. Elle conseille également à la sûreté aérienne, et elle est un conseiller pour la sécurité intérieure. Dans ce fichier, elle a énuméré les explosifs qui ont été présumément utilisés dans les incidents terroristes majeurs, de Beyrouth (1983) à Mumbai (2006). Une experte en explosifs assez naïve au sujet du terrorisme sioniste n'a pas nécessairement fait partie de la conspiration, mais aurait pu être utilisée après avoir été informé du type d'explosifs que des "terroristes musulmans", sont "connus pour utiliser".

Bien que l'idée qu'un certain nombre de conspirateurs infiltrent les usines chimiques et mènent des opérations de sabotage dans l'espoir d'être chanceux est hautement improbable, elle n'est pas aussi ridicule que l'idée d'une conspiration impliquant l'ADL, la sécurité intérieure, l'ensemble du service de police de Hoffman Estates, les procureurs juifs, American Free Press, Republic Broadcasting Network - et éventuellement la CIA pour faire bonne mesure - qui auraient fait arrêter et électrocuté au Taser un "journaliste anti-sioniste" qui appelle la police à son domicile, puis leur dit qu'il va chercher des renforts. Lorsque les policiers se présentent à votre domicile, dix minutes après que vous ayez composé le 9-1-1 et leur ayez dit de passer, et quand vous vous faites
électrocuter au Taser et arrêté après, en criant que vous allez à l'intérieur pour chercher des renforts, l'explication de ces événements est déjà patente - nul besoin de théorie de conspiration. Et quand la théorie du complot exige que les comploteurs soient capables de contrôler l'esprit pour pousser l'individu à les appeler, et d'autre part pour pousser le sujet à devenir belligérant, afin de fournir un prétexte pour à la fois être invité à la maison et pour utiliser le Taser, la théorie du complot peut être rejetée comme étant le produit d'un fou - ou un dispositif des renseignements et un agent de désinformation.

Étant donné que toute enquête honnête doit tenir compte des lois de la logique et de la causalité, il faut conclure qu'il n'y a pas de raison impérieuse de préférer une théorie du complot à la version officielle des événements de l'explosion d'une usine Technic. Et les explosions de poussières tuent ou blessent chaque année, avec des explosions mineures encore plus fréquentes. En fait, il a été estimé que près de 35 explosions majeures
de poussières se produisent chaque année aux États-Unis, avec environ 40 cas mortels. Si l'incident Technic est du type qui se répète environ tous les dix jours, alors la probabilité qu'un incident survienne le même jour que les incendies de River North ou de IBM est aussi élevé que 1 sur 5, et la probabilité d'incidence à l'intérieur d'une heure - dans tous les cas - est de 1 sur 60.

Le 14 décembre 1785, il y a eu une explosion de poussières de farine à Turin, Italie.

Le 7 février 2008, 14 personnes ont été tuées et 36 blessées dans une explosion de poussières de sucre à la raffinerie d'Imperial Sugar à Port Wentworth, en Géorgie.
Les planchers de béton de trois pouces d'épaisseur du bâtiment sud ont bougé et fléchi sous la force de l'explosion, et des violentes boules de feu ont éclaté pendant plus de 15 minutes. Des petits incendies ont continué de brûler pendant plusieurs jours. Le sucre granulé avait une granulométrie moyenne de 286 microns, avec le sucre en poudre à 23 microns, et la fécule de maïs à 10 microns. Sur l'indice Kst de déflagration poussière, même les échantillons de fécule de maïs avait une valeur de seulement 189 bar m/s, ce qui la situe dans la classe de danger "explosion faible" ST 1. La surchauffe d'une pièce de roulement est présumée avoir causé une étincelle qui a déclenché une explosion initiale de poussière de sucre, suivi par «une puissante cascade d'explosions de poussières secondaires». L'incident a été décrit comme "l'explosion de poussières industrielles aux États-Unis la plus meurtrière depuis des décennies". Les poussières de sucre s'étaient accumulées à une concentration explosive après qu'un convoyeur avait été fermé avec des panneaux en acier, en créant un milieu confiné, un espace sans aération.

Dans la période du début février 2003, une autre explosion de poussières notable aux États-Unis est arrivée à West Pharmaceutical Services à Kinston, en Caroline du Nord, le 29 janvier 2003. Six ont été tués et 36 blessés. Des fenêtres ont été brisées à une distance de 1000 pieds, les débris a été propulsés jusqu'à deux miles et l'explosion a pu être entendue à 25 miles. Des bandes de caoutchouc ont été amenées par le biais d'un réservoir contenant une poudre très fine de polyéthylène mélangé à l'eau, pour réduire la rigidité du caoutchouc. Les bandes revêtues de caoutchouc ont été séchées à sec avec des ventilateurs, avec le résultat que la poussière de polyéthylène pris son envol. La poussière qui se déposait sur les zones visibles était nettoyée en permanence, mais un quart de pouce à un demi-pouce de poussière s'est accumulée au-dessus du plafond, sur les tuiles de plafond, poutres, appareils d'éclairage et conduits. Les enquêteurs ont dit que jusqu'à une tonne de poudre combustible aurait pu se loger au-dessus du plafond, à quelques pieds au-dessus de la tête des travailleurs inconscients.

West Pharmaceutical fut le théâtre d'une des trois explosions mortelles de poussières en 2003. Un autre a eu lieu le 20 février, alors la poudre de résine phénolique a explosé à l'usine CTA Acoustics à Corbin, au Kentucky. Sept ouvriers ont été tués et 37 blessés. Les enquêteurs ont découvert qu'un nuage de poussière de résine phénolique, généré au cours du nettoyage d'une ligne de production, avait été allumé par un incendie dans un four défectueux. L'explosion initiale a soulevé davantage de poussière et causé des explosions secondaires. Et le 29 octobre, de la poussière d'aluminium a explosé à l'usine de roues
en aluminium de Hayes Lemmerz à Huntingdon, en Indiana. Deux travailleurs ont été gravement brûlés dans l'incendie qui a suivi et l'un d'entre eux est décédé le lendemain.

Le 25 janvier 2003, une très forte explosion a détruit l'usine d'aliments pour animaux domestiques BestCare et blessé deux personnes à Gunnedah, à New South Wales. Heureusement, l'usine a fermé pour la longue fin de semaine du Jour de l'Australie. Les enquêteurs croyaient qu'une étincelle avait déclenché une série d'explosions de poussières ainsi que l'incendie qui en a résulté. Selon un rapport plus récent, une fuite de propane a déclenché une petite explosion primaire, qui a été suivie par une explosion
de poussière secondaire, beaucoup plus massive. Vingt portes à rouleaux géants ont été soufflées sur un bâtiment à près d'une centaine de mètres, au moins trente maisons et dix usines ont été endommagées, des fenêtres de maisons ont été brisées à deux miles de là, l'explosion a été entendue à 12 miles de là et un pompier à plus de quarante miles de là a affirmé avoir vu l'explosion qui ressemblait à "au champignon d'une petite explosion nucléaire". La scène a été décrite comme comme une zone de guerre. BestCare a déménagé dans un nouvel établissement à Dubbo, qui a été acquis l'année suivante par Bush's International. Des receveurs ont été nommés pour l'entreprise en juin 2009.

Dans la nuit de mercredi 12 février 2003, deux étudiants de l'Université de l'Illinois à Chicago ont été arrêtés dans le bâtiment du Collège de médecine sous des accusations de vol qualifié. Les suspects, Omar Sheikh, 22 ans, et Santosh Soparawala (parfois identifié comme Soparawalla), 21 ans, étaient présumément en train de voler du matériel informatique quand la police est survenue. Les suspects ont plus tard informé la police qu'un casier dans le Collège de Pharmacologie contenait un liquide inflammable. Vers 8h le lendemain matin, jeudi, l'escouade anti-bombe et une unité des incendies criminels du service de police de Chicago et une équipe du service d'incendie de Chicago spécialisé dans les matières dangereuses a inspecté le bâtiment. Il a été évacué et la substance a été retirée 90 minutes plus tard. Elle a été reconnue comme un n-n-diméthylformamide
non dangereux, qui est semblable à de l'alcool à friction. Le lieutenant de la police de UIC, Michael Cherry, a dit qu'il n'y avait aucune raison de croire à un lien avec le terrorisme.

Omar Sheikh, de Calumet City, a ensuite vu son permis de technicien en pharmacie lui être révoqué en raison de son arrestation en plus d'être accusé sous trois chefs d'accusation de vol avec effraction. Santosh Soparawala, d'Evergreen Park, a eu son permis de technicien en pharmacie en probation pour deux ans pour avoir été arrêté et inculpé de trois chefs d'accusation de vol par effraction. En 2005, Soparawala a participé à une étude sur les produits contenant du rhénium - un métal si rare que son prix a dépassé les 12 000 dollars par kg, - à l'Université Governors State, en Illinois, avec Jan Wazio, Sam John, et le professeur de chimie inorganique Gregory A . Moehring.

Le 20 février 2003, 100 personnes ont été tuées et environ 230 blessés dans un incendie à la boîte de nuit The Station, à West Warwick, dans le Rhode Island. Il s'agissait du quatrième incendie de boîte de nuit le plus meurtrier dans l'histoire américaine, et a été déclenché lorsque le directeur de tournée du groupe en tête d'affiche de la soirée, Great White, a activé des étincelles pyrotechniques qui ont enflammé la mousse d'isolation acoustique
inflammable. La boîte de nuit a été presque instantanément engouffrée, et l'une des personnes tuées était le guitariste du groupe, Ty Longley. Daniel Biechele, le directeur de tournée, a été condamné à 15 ans dont 11 ans suspendus pour avoir déclenché l'incendie. Cet incident est facilement écarté comme n'étant pas un attentat sous faux pavillon raté.

La bousculade de la boîte de nuit E2, dans laquelle 21 personnes ont été tuées et plus de 50 blessées, a eu lieu à Chicago le 17 février 2003. Des jets de poivres sous pression ont été utilisés pour disperser une bataille à main nues, et la panique s'en est suivie étant donné les attaques relativement récentes de l'anthrax (bacille du charbon) et du 11 septembre. Le moment et l'endroit sont tout près des incendies du 7 et du 14 février dans Illinois, mais le résultat était imprévisible et il aurait été très difficile de jeter le blâme sur Saddam Hussein. Mais comme tentative d'attaque sous faux pavillon, bien que très improbable, cela n'est pas si facilement exclu que l'incendie de la boîte de nuit The Station. Certaines personnes auraient crié "gaz poison!", "attentat terroriste!", et quelqu'un a dit: "Je parie que c'est ben Laden".

Le 21 février 2003, il y a eu une explosion dans une raffinerie à Staten Island. L'explosion, qui pourrait être entendue à plusieurs miles, a été signalé peu après 10:00 du matin. Le FBI a dit qu'il n'y avait aucun indice de terrorisme, même si une raffinerie serait une cible terroriste probable.

Le mardi 12 janvier 2003, le révérend Al Sharpton est officiellement entré dans la course démocrate à la présidentielle, en tant que sixième personne à avoir ouvert un comité exploratoire présidentiel. Le lendemain, le siège social de son National Action Network de Harlem a été vidé par un incendie d'origine électrique qui a commencé dans une rallonge électrique surchargée à proximité des boîtes de tracts. La Israelite School of Practical Knowledge, qui considère les Noirs américains comme des "descendants des Douze Tribus d'Israël", occupait le troisième étage. Un membre non identifié était là au moment de l'incendie et a été soigné pour inhalation de fumée. Le moment de l'incendie a été vu comme suspect, en particulier parce que le 10 avril 1997, un incendie avait détruit le siège de campagne du maire Sharpton à Harlem. Le feu antérieur avait également été jugé suspect, car un accélérant tel que de l'essence était présumé avoir été utilisé, mais ce feu a éclaté à l'étage en dessous du bureau de campagne pour lancer les enquêteurs sur une fausse piste. Comme conspiration, l'incendie du 22 janvier est tout à fait faisable, mais ce n'est pas un attentat sous faux pavillon. Le New York Times a rapporté avoir de tels soupçons, mais les a décrits comme une «théorie du complot».

Voici un certain nombre d'incendies relativement récents qui ont éclaté dans les tours de refroidissement situées autour de Chicago, sans raison connue de les soupçonner d'être des opérations sous faux pavillon ratées. Le 9 juillet 2009, un petit incendie a débuté dans une tour de refroidissement au Laboratoire national d'Argonne, dans la banlieue sud-ouest de Chicago. L'Advanced Photon Source du laboratoire a fourni des faisceaux de rayons X à des scientifiques du monde entier. Et le 3 novembre 2009, un incendie a éclaté dans une tour de refroidissement sur le toit d'un immeuble
résidentiel de 48 étages au 233 E. Wacker Drive, à Chicago. Un témoin oculaire a dit qu'il y avait un «nuage très dense de fumée».



 
Possible mise en scène
 


Bret Darren Lee, un musulman né aux États-Unis dont le patronyme musulman est Umar ben-Livan, a été arrêté à Saint Louis, au Missouri, à l'aurore le dimanche matin, le 9 février 2003. Il a été interrogé sur ses "activités anti-guerre", et questionné s'il a planifié des attaques contre le gouvernement américain. Saint-Louis est à environ 300 miles de Chicago. Lee, qui se fait appeler simplement Umar Lee et écrit maintenant un blog sous ce nom, s'est converti à l'Islam vers 1992. Il fut réveillé par des coups très forts qui cognaient à sa porte à environ 5 heures du matin le dimanche et plusieurs policiers ont fait irruption avec leurs armes pointées vers lui. Il a été menotté et embarqué dans une voiture de police. La police a passé 45 minutes à chercher son appartement et emporter des documents qui lui ont ensuite été retournés. Le dimanche vers midi, des agents du FBI sont retournés à l'appartement de Lee et ont interrogé son épouse pendant 30 minutes, demandant si Lee était un «terroriste», ce qu'il pensait sur les Talibans, etc. Les agents du FBI et un «enquêteur» de la police ont posé des questions similaires à Lee pendant une demi-heure, et l'ont également questionné au sujet de son ami Tim Kaminski, qui est aussi un musulman né aux États-Unis. Lee a été libéré dimanche soir sur une caution de 4500 $ après avoir été arrêté sur un mandat de fugitif, apparemment pour une violation de probation, mais qui était évidemment un prétexte pour l'arrestation et l'interrogatoire.

En 2007, par exemple, Umar Lee s'est rendu dans l'Illinois pour assister à l'assemblée annuelle de la Société musulmane américaine - Cercle islamique d'Amérique du Nord (MAS-ICNA) à l'hôtel Hyatt Regency O'Hare à Rosemont.

Un lien présumé entre le Missouri et le soi-disant «Al Qaïda» est que Ziyad Sadaqa, qui a brièvement vécu à Saint-Louis et également travaillé pour un organisme de bienfaisance à Columbia, MO, aurait soi-disant acheté un téléphone satellite qu'Osama bin Laden aurait utilisé pour comploter les attentats contre deux ambassades américaines en 1998. Mais Sadaqa a été accusé d'avoir acheté le téléphone satellite sous un pseudonyme, Ziyad Khaleel, en 1996. Il y a aussi une allégation selon laquelle un compte bancaire de Saint-Louis a été connecté à un «adjoint» de Ben Laden, Ayman Al-Zawahiri. Une organisation terroriste qui s'appelle "la base" ou "les toilettes" peut dépenser 7500 $ pour un simple téléphone portable, Ben Laden peut recevoir un traitement de dialyse et teindre sa barbe tout en étant encerclé par les forces de l'Otan au cours d'une chasse à l'homme qui durera plus de 8 ans, et pourtant elle ne peut même pas acheter un enregistreur vidéo décent, ou cacher la trace sur papier quand ils achètent un téléphone. Un écrivain de fiction et avocat juif a même compilé un roman sur Zawahiri qui aurait "infiltré" les biodéfenses américaines, ce qui est une source possible dans laquelle les scénaristes ont pu puiser leurs idées pour leur fumier de cheval à la "Emmanuel Goldstein des
temps modernes".


 
Probabilité d'incendies de bâtiments
 


Quant à la question centrale de savoir si l'incendie du bâtiment IBM était, comme le suggère le rasoir d'Occam, un incendie spontané en raison de l'usure normale du matériel de chauffage, ou une partie d'un complot manqué visant à incriminer le régime irakien, il serait judicieux d'étudier la fréquence d'allumage des incendies de structure pour la catégorie particulière du bâtiment. Dans ce cas, "allumage" exclurait les feux très petits qui sont, par exemple, éteints par les occupants, et ne nécessitent pas l'intervention des pompiers.

Selon le rapport de John R. Hall Jr. sur Les incendies de gratte-ciel de juin 2009, les incendies de structure signalés dans des hautes tours, définies comme ayant moins de sept étages, étaient en moyenne de 13 400 par an, entre 2003 et 2006, aux États-Unis. Pour les bureaux seulement, au cours de la même période, la moyenne annuelle est de 400 pour les immeubles de grande hauteur, par rapport à 3550 pour les bureaux de 1 à 6 étages. À travers toutes les grandes catégories d'utilisation, le nombre d'incendies dans les immeubles de grande hauteur est relativement faible si on prend en compte l'exposition, à savoir, la superficie totale d'espace de plancher.

Pour les immeubles à bureaux, la part d'exposition des gratte-ciel est estimée à 25-46% avec une variation moyenne de 38%.

L'Energy Information Administration (EIA), dans son enquête de 2003 sur La consommation d'énergie des immeubles commerciaux, dénombrait un total de 4 859 000 bâtiments commerciaux de plus de 1000 pieds carrés aux États-Unis. Lorsque l'activité principale du bâtiment est classée comme «bureau», le total est 824 000.

Supposons que le gratte-ciel moyen de sept étages ou plus a quatre fois la superficie de plancher du gratte-ciel moyen, alors les grattes-ciels ne comptent que pour 9,5% du total de 824 000 -- soit 78 280 -- afin d'inclure la moyenne estimée de 38% de part d'exposition ou d'espace total de plancher. 400 incendies par an dans 78 280 grattes-ciels à bureaux correspond à une probabilité de 400 / 78 280 ou environ 1 sur 196 qu'un incendie se produise dans un bureau de gratte-ciel particulier chaque année. Sur une période de, disons, trois mois avant la guerre en Irak, la probabilité d'un incendie serait de 1 sur 783. Et s'il y a dix jours -- par exemple avant un événement important, tel qu'une manifestation massive anti-guerre -- que nous spécifions qu'un bâtiment particulier doit prendre feu, la probabilité est de seulement 1 sur 196 x (365,25 / 10) = 1 sur 7159.

L'ingénieur en protection contre les incendies Pierre Palmberg a dit: «Par exemple, le danger est clairement de mesurer la probabilité d'occurrence des incendies comme étant une fois sur 1000 ans, alors que la probabilité réelle est d'une fois sur 100-200 ans."

Ceci est compatible avec les calculs ci-dessus. Cependant, pour être juste à l'égard de l'hypothèse de l'incendie spontané, ces estimations ne tiennent pas compte du fait que l'ancien bâtiment d'IBM à 11 étages a une surface totale de quelque 330 000 pieds carrés (31 000 mètres carrés), ou 30 000 m^2 par étage. Dans le cas des petits immeubles, la probabilité d'allumage s'accroît avec l'exposition (aire de surface). Mais il a été constaté, par exemple par le Dr. Ganapathy Ramachandran, que la probabilité cesse d'augmenter suivant l'aire de surface lorsque les bâtiments sont grands. Ramachandran utilise l'équation suivante:

F (A) = kA à la puissance alpha

ou

F (A) = kAα

... où A est la surface totale de plancher du bâtiment et k et alpha sont des constantes pour un type particulier de bâtiment. L'indice alpha nécessite une valeur inférieure à l'unité et elle serait encore réduite si le bâtiment avait des gicleurs. F (A), la probabilité d'incendie pour un bâtiment particulier et une superficie totale, est généralement exprimé sur une base annuelle.

Cela a été mis au point, par exemple par Tillander 2004, dans un modèle utilisant la somme de deux lois de puissance pour déterminer la fréquence d'allumage des bâtiments d'une surface totale de plancher de l'ordre de 100 à 20000 mètres carrés. Pour les bâtiments de plus grande taille, par exemple le bâtiment à 31 000 mètres carrés d'IBM Global Network Services, les données sont rares.

Selon Tillander, un bâtiment classé comme "usage de bureau" et de 30 000 m^2 aurait une fréquence d'allumage de 2.5x10^-6 exprimée en 1/m^2a, ce qui correspond à la probabilité d'allumage par aire de plancher et par unité de temps (annum a) (voir figure 10 à l'adresse suivante).

0.0000025 fois 31 000 m^2 indique une fréquence d'allumage de 0.0775 par an pour le bâtiment d'IBM, ce qui serait une fois tous les 12.9 ans. Cependant, voir le tableau 6 pour la probabilité d'incendie par bâtiment (1/a), dans laquelle Holborn et al. (2002) ont trouvé une valeur pour les immeubles de bureaux à Londres (1996-99) de seulement 0.0017, ce qui indique qu'on peut prévoir qu'un immeuble à bureaux s'enflammerait en moyenne une seule fois en 588 ans.

Supposons que la fréquence d'allumage de 2.5x10^-6 en 1/m^2a soit appliquée dans le cas de bâtiments aussi grands que les tours jumelles du WTC. Chaque tour avait une empreinte d'environ 4020 m^2, et en multipliant ce chiffre par 110 étages et sept niveaux de sous-sol on obtient 470340m^2 de surface de plancher. Si l'on multiplie ce nombre par 0.0000025, la valeur de 1.176 indique que des incendies seraient déclenchés à tous les 10.2 mois à l'intérieur de chaque tour. Et ce ne sont pas seulement des fausses alarmes dans lesquelles le service d'incendie est contacté. Ce serait de vrais incendies produisant un panache de fumée, mais les dégâts pourraient être relativement mineurs. La Tour Nord a eu un grave incendie en février 1975, qui a brûlé pendant trois heures, dans lequel on pouvait voir des flammes sortant des fenêtres au 11ème étage sur le côté Est du bâtiment, contrairement aux incendies du 11 septembre. Et six personnes ont été tuées dans les bombardements terroristes de février 1993.

Mais un incendie tous les 10,2 mois dans chacune des tours (plus les feux ordinaires dans le WTC7) semble beaucoup trop élevé comme fréquence, ce qui suggère que la valeur 2.5x10^-6 devient trop élevée pour s'appliquer aux grands bâtiments; et le feu survenant une fois tous les 13 ans et la chance de 1 sur 475 d'un début d'incendie au cours de l'un des dix jours significatifs est aussi une probabilité beaucoup trop grande.

Bien sûr, l'effondrement total de tout un bâtiment en raison d'un incendie est un événement extrêmement rare, et tout conspirateur aurait vraiment poussé trop loin sa chance s'il avait décidé de démolir le bâtiment d'IBM ou d'autres bâtiments pour ensuite blâmer des saboteurs incendiaires irakiens. Un projet mené par le NIST a recensé vingt-deux cas d'"effondrement" dans des bâtiments "à plusieurs étages", et sept cas d'" absence d'effondrement", quatre de ces derniers étant des bâtiments à charpente d'acier. Leur définition du terme "à plusieurs étages" comprend tous les bâtiments de 4 étages et plus. Sauf pour les tours 1, 2 et 7 du WTC, les seuls autres effondrements complets sont survenus dans des bâtiments à charpente de bois (et aussi des bâtiments en construction), en béton, en béton armé et de construction «inconnue». La plupart des soi-disant «effondrements» étaient seulement des effondrements partiels. Outre le World Trade Center, les autres bâtiments à charpente d'acier ne se sont pas effondrés du tout, ou bien alors l'«effondrement» était très mineur.



 
Conclusion
 


L'attaque sous faux pavillon du 11 septembre réalisée par le sionisme international a laissé des preuves fumantes (métal en fusion, incluant de l'acier en fusion, des sphérules de fer) et un "pistolet chargé" (thermite active). Il n'y a pas de preuve fumante similaire sur les lieux des incidents de février 2003. Toutefois, l'improbabilité de deux incendies analogues dans des gratte-ciel séparés par exactement une semaine d'intervalle, le dernier incident étant survenu la veille de manifestations anti-guerre mondiales sans précédent, et ce dans un bâtiment étroitement associé à un agent de renseignement et de désinformation reconnu, il est peu probable qu'aucun acte criminel n'ait été impliqué dans l'un de ces incidents.

Cela ne signifie pas que Bollyn avait nécessairement été informé de ce qui allait se passer, cela signifie juste que les coupables ont choisi le bâtiment de son ancien employeur pour pouvoir l'utiliser dans leurs tentatives de porter atteinte à la révélation de la vérité, en le nourrissant avec de fausses données telles que "Ehud Barak a fait le coup". Il a été utilisé de la même manière pour endommager les efforts du mouvement de vérité du 11 septembre (9/11 Truth) en se discréditant délibérément et en diffusant de la désinformation.

L'ironie pour les supporters de Christopher Bollyn est que si nous devions adopter son mépris cavalier pour les lois de la logique et de la causalité, on pourrait rejeter tout problème lié à la notion que les coupables installeraient une poudre hautement sensible aux chocs dans une trappe de ventilation en plastique et ensuite prédire alors qu'un travailleur pourrait ensuite frapper sur la trappe de ventilation avec un petit marteau, car les agents des coupables qui auraient infiltré la compagnie et placé la poudre savaient que leur absence le jour prévu pourrait conduire à une suspension temporaire de la production et à un nettoyage des aires de travail par les employés restants. Dans ce cas, l'explosion de l'usine Technic devient une attaque sous faux pavillon possible, avec les autres incendies de gratte-ciel, et plusieurs des autres événements.

Si, comme cela devrait être le cas, nous ne rejetons pas les lois de la logique et de la causalité, alors l'explosion de l'usine chimique devient un attentat sous faux pavillon très peu probable. Plus faible le nombre d'attaques sous faux pavillon ratés hypothétiques, plus grande est la probabilité qu'aucun d'eux ne réussisse. Le premier incendie de gratte-ciel à River North implique des juifs qui ont fait signer un contrat de bail dans les mois précédant l'événement, qui savaient que les étages supérieurs du bâtiment n'étaient pas occupés, et dont le directeur général a dit que le World Trade Center était "l'affaire de toute une vie" pour Larry Silverstein. De tous les événements décrits ci-dessus, le cas du bâtiment IBM Global Network Services serait l'
attentat raté sous faux pavillon le plus plausible, avec le bâtiment de River North comme deuxième choix, à la suite de l'événement d'Expo AHR de 2003 qui a eu lieu à la Place McCormick de Chicago, du 27 au 29 janvier 2003, et le sommet irakien du 31 janvier de Bush-Blair à Camp David et à la Maison Blanche.

Outre les incendies du 7 et du 14 février, il n'y a pas de raison impérieuse de soupçonner n'importe lequel des autres événements. Certains d'entre eux peuvent être exclus, mais ils sont détaillés ici à des fins de recherche. Et que l''incendie du 7 février à River North ait été ou non une tentative d'attentat sous faux pavillon, les fauteurs de guerre en Irak auraient certainement été au courant de l'explosion de l'usine chimique qui a suivi à 9:30 ce matin-là, et de l'immense avantage politique offert par ce qui pourrait être présenté comme une "attaque terroriste synchronisée contre un gratte-ciel et d'une usine chimique impliquant du cyanure" et perpétrée par "des musulmans liés à Saddam Hussein". Cela les aurait encouragés à aller de l'avant, ou aller encore plus de l'avant, pour qu'une attaque sous faux pavillon dans un gratte-ciel à bureaux lié à un actif des renseignements reconnu, soit menée un jour avant des manifestations anti-guerre sans précédent.

----------------------------------------------------------------------------------------------------
Note: Contrairement à quelque désinformation que vous ayiez pu lire ailleurs, cet article n'a pas été écrit par Michael Collins Piper.




* On the subject of shills and disinfo in the 911 truth movement
* Eric Hufschmid - Zionist Disinfo Agent Provocateur
* The Hufschmid - Lithuanian Jews Connection
* Eric Hufschmid's charge unfounded
* Terrorists' Friends Pose as Truth Seekers
* The French Connection
* Christopher Bollyn - Agent Saboteur
* Eric Hufschmid is a Zionist chill!
* Analyse d'un soi-disant "chercheur": Brendon O'Connell
* Analysis of a so-called "Truth Teller": the case of Brendon O'Connell
* The Real Reason behind O’Connell’s Arrest? (look at comments section)
* Brendon O’Connell’s Suppressed Videos (look at comments section)